Cette semaine :
Émeline et ………. Aurélien… eh oui, M. 95% : le
retour !!!
Chrystèle et Yann… ça a fini avant qu’elle n’aille
chez lui… Apparemment il a fait machine arrière… Quand je vous disais que ce
mec n’était pas net, pas sincère, pas honnête et pas franc ?! Quel
enfoiré ! Je vous dis qu’il a fait un pari, cet enfoiré !
Nicolas et Magali, Mag’ pour les intimes… No comment…
c’est toujours mon chouchou…
Thierry le montagnard et Aurélie : le jeune
vieux et Madame +
Christophe l’homme vierge… avec Marie-Noëlle :
Mme Curaillon ou la grenouille de bénitier
Tiens, je croyais que c’était le bilan, ce soir… Je
suis à l’Ouest… Et non, c’est le week-end chez les prétendantes et voyage en
« « « « « amoureux » » » » »…
enfin, théoriquement !
1er jour chez les prétendantes :
Christophe, 45 ans, éleveur de vaches de Vendée. Au décès de son
père, il s’est occupé de l’exploitation et a mis de côté sa vie sentimentale.
Enfin, pour moi c’est une bonne excuse, parce que le boulot n’est pas
incompatible avec la vie sentimentale, surtout le sien ! Il y a bien des
restaurateurs ou des gens qui bossent de nuit quand leur femme bosse de jour,
et qui sont en couple… Ils font même des bébés… Oui, ça doit demander un peu
d’organisation, mais ça fonctionne ! Et puis, il arrive à faire du
théâtre, donc il a quand-même une vie sociale !
Non, c’est surtout qu’ils veulent mettre son pucelage
sur le dos du boulot, alors que c’est à mettre sur le dos d’un problème
personnel qui a fait qu’il est coincé avec les nanas… Ce qui arrange bien Marie-Noëlle,
qui ne veut pas aller trop vite… et du coup, il passe pour un mec bien :
« On n’est pas des lapins, on n’est
pas des animaux ». Non, certes, et je me bagarre suffisamment contre
ça d’ailleurs… mais par contre, le jour de sa première fois – si tant est
qu’elle arrive un jour… - ça sera soit un scud, soit un éclair, soit un
spaghetto stracotto et tout ramollo… donc pétard mouillé qui ne pètera
pas !!!
Il se retrouve avec Marie-Noëlle, 48 ans, secrétaire
de Direction de la Région Parisienne… mais Séverine lui avait dit que, dans le
cas où ça merderait avec Marie-Noëlle, il pouvait reprendre contact avec elle.
Elle avait 38 ans, il me semble, la miss. Très vulgaire, pas super mignonne,
humour lourdingue à la con, mais plus jeune donc potentiellement fertile et
possible mère pondeuse…
Marie-Noëlle attend Christophe à la Gare
Montparnasse. C’est sûr que ça change de la Roche……. sur Yon……, remarque-t-il.
Elle habite dans la banlieue parisienne, proche de Paris, dans un 2 pièces… Son
appart’ est mignon mais avec une armoire un peu trop rustique à mon goût… Sans
doute un meuble de famille… Il trouve que c’est un peu petit, 2 pièces, il n’a
pas l’habitude, et des immeubles en face et sur les côtés : de partout,
juste les feuillages d’un gros platane en guise de verdure, pas très loin de
l’appart’, visible de son balcon… Le balcon, petit et la seule possibilité pour
Christophe de prendre un peu l’air… lui qui étouffe à l’intérieur… Ça me
gonflerait, un mec qui tourne et qui vire, qui a l’air d’être un lion en cage,
qui a besoin d’air, de toujours être en mouvement…
Pour l’apéritif : toasts à la
tapenade et je ne sais quoi avec des pruneaux et du chèvre…
Marie-Noëlle le remercie d’être venu et
d’être là… Et vas-y qu’ils nous balancent des « voilà » à la pelle !!!
Thierry, 37 ans, des Alpes-Maritimes avec
Aurélie : Mme + !!! Elle a 31 ans et un enfant de 3 ans je
crois.
C’est à Annecy qu’Aurélie attend
Thierry : ils ne se sont plus vus depuis 3 semaines. Elle aurait pu aller
l’attendre sur le quai, quand-même... Si elle était allée chez lui avec la
moitié de sa maison, lui arrive avec un sac tout léger et aux ¾ vide,
apparemment !!!
Encore une Mademoiselle Voilà !
Punaise, c’est IN-SUP-POR-TA-BLE !!! Moi, je pense que les petits mots que
je dis en trop grande quantité, ça serait « donc » et
« après »… Je m’en énerve moi-même, c’est pour vous dire… Non, je
plaisante, mais je fais gaffe de ne pas tomber dans les mêmes travers que les
autres.
Au programme, concocté par Aurélie pour
Thierry :
Le matin : surprise ;
Le midi : surprise ;
Le soir : apéritif dinatoire chez
les parents : ils seront 9 et ça se passera chez les parents, où ils vont
dormir.
Aurélie lui explique que le soir, s’il
veut, il pourrait s’échapper, mais que le midi, il n’y aurait aucune échappatoire.
Il en déduit que ce qu’ils feraient n’est pas sur terre… Aurélie dit qu’il est
malin, le vacher… C’est sympa… Pft !
Aurélie photographie Thierry et lui dit,
pour qu’il sourit : « Fais
semblant d’être content d’être là ! »… Charmant…
Thierry dit qu’il est heureux et pourvu
que ça continue « voilà »…
Lui, il les enfile les uns après les autres, les « voilà »,
aussi ! Pénible !!! Visite du vieil Annecy… C’est très joli… Il y a
une grosse vache quasiment grandeur nature, devant un resto… Ça lui rappellera
les souvenirs de ses montagnes…
Aurélie l’amène à un pont, « un
endroit qui est bien nommé pour nous,
c’est le Pont des Amours »… Il dit qu’il y en a de partout… À Paris,
ils avaient mis un cadenas sur le Pont des Arts.
Pour ce pont, Thierry dit qu’il n’y a pas
de cadenas sinon ça ferait tomber le pont, et elle répond qu’il n’y en a pas,
mais que si on leur donne l’idée… Il va être content, le Maire de la ville,
tiens…
Aurélie veut encore lui faire des photos,
et lui dit, en posant : « Fais
gaffe de pas attaquer à chavirer », là j’ai pas compris… et elle lui répond que c’est lui qui la
fait chavirer. Et elle se sent obligée de le répéter 2 fois !!! C’est
saoulant ! Ah oui, c’est au cas où il n’aurait pas entendu ou compris.
Aurélie lui offre un cadenas, assez gros,
qu’elle a dû « customiser » - je cède aux sirènes de la mode… elle-même…
Il est rouge, bien sûr, et Aurélie a écrit dessus : « Thierry & Aurélie 23/03/14 »,
souvenir du jour où ils se sont rencontrés… Ils l’accrochent au pont, juste sur
l’affiche « Pont des Amours »… et ils font un vœu :
Aurélie : « Comme hier :
100 ans d’amour minimum »… Et Thierry de dire : « On n’a pas fini d’en mettre, des
cadenas ! ».
Ils embarquent sur un bateau pour une
croisière gourmande sur le lac d’Annecy… Ils trinquent encore : « À leur folie »… lui dit qu’elle est
ordinaire, elle qu’elle n’est pas si ordinaire… Oui, ce sont 2 façons de voir
les choses…
Émeline, 32 ans, cunicultrice du Gers…
qui avait congédié Bruno 2 jours après son arrivée. Elle avait rappelé un
candidat malheureux : Cyril, qui ne me plaisait pas du tout : trop
mielleux, guimauve and Co… Romantique doucereux et excessif… Le mec qui,
certes, parle comme une nana – elle lui avait d’ailleurs dit au départ, que ce
qu’il écrivait était tellement beau qu’elle pensait que ça avait été écrit par
une femme… - mais qui, finalement, est « trop », « too
much »… Je pense que les femmes aiment les hommes romantiques,
sentimentaux, mais pas à l’extrême… car un homme trop romantique et
sentimental, je pense que ça lui fait perdre de sa virilité et c’est…………..
CHIANT !!! Enfin, j’ai écrit « je pense » car c’est MON
AVIS !
Émeline et Aurélien, au petit déj’, pour un séjour
de 4 jours… Ils habitent à 850 km l’un de l’autre… carrément en
diagonale : elle dans le Sud-Ouest, lui dans le Nord-Est... Toujours des
régions où on mange bien, n’empêche…
Elle n’a pas pu aller chez lui, donc il est
retourné chez elle.
Elle l’avait congédié, parce qu’il ne correspondait
QUE…. à 95% de ses critères… les 5% restant étant ABSOLUMENT ESSENTIELS ET
PRIMORDIAUX……….. car il était trop maigre, ne l’attirait pas physiquement…
Bref, elle croyait que mec baraquait égalait obligatoirement mec virile et
protecteur… Pipeau de chez pipeau !!!
Moi, le jour où je rencontre un homme qui a 95% de
ce que je recherche… je lui fais allègrement cadeau des 5%... parce que
franchement, faut pas déconner !!!
En plus, dans le cas d’Émeline, elle est
super exigeante, donc 95% pour elle, avec ses critères, c’est déjà le Prince
Charmant !!!
Donc, après son départ de chez Émeline,
Aurélien lui a envoyé des photos, et dans le dernier envoi, il lui a envoyé des
photos et une lettre, si je me souviens bien. Suite à ça, ils se sont appelés,
ils restaient au téléphone tous les soirs entre 1 heure et 2h45… et au bout de
3 semaines, ils ont fait le choix de se revoir 24 heures sans caméra, et il est
donc arrivé la veille au matin, pour faire les 24 heures, et la caméra est
arrivée le lendemain matin…
Ils ont de beaux et riches échanges intellectuels,
Aurélien aime tout d’Émeline, car elle l’impressionne à tous les niveaux :
il la trouve belle, brillante par sa façon de penser et de voir les choses…
Aurélien envisage d’aller vivre chez elle. Son seul petit problème pourrait
être son boulot qu’il aime, mais pour Émeline il pourrait franchir le pas…
Nicolas, céréalier de Meurthe-et-Moselle, divorcé
depuis 4 ans, de 36 ans, 2 filles. Il a craqué pour Magali.
Nicolas va en voiture chez Magali, en
banlieue lyonnaise : il lui fait une surprise, car c’est son anniversaire.
Elle croit qu’il va arriver tard le soir, et alors qu’elle pense avoir
rendez-vous avec une copine – avec qui Nicolas a tout manigancé – c’est Nicolas
qui l’attend dans un bar, avec plein de cadeaux… Il est trop mignon… Elle est
super surprise !!! C’est génial… « Une petite soirée anniversaire, en amoureux »… dit Nicolas…
1er cadeau : on dirait un
saucisson, tel qu’il est emballé, et c’est une espèce de pâté lorrain en
croûte… Miam… Il a l’air trop bon… Décidément, il n’a apporté que des trucs à
bouffer : car il y a aussi un gâteau en forme de cœur avec des Smarties et
Bon Anniversaire Magali…
Le cadeau le plus beau, c’est la venue de
Nicolas…, fait-elle remarquer…
Ils vont manger dans un autre restaurant,
et au dessert, il lui offre 2 cadeaux : vu les petits sacs, on comprend
qu’ils viennent d’une bijouterie : des boucles d’oreilles… Il est trop
mignon… et un collier… Il lui souhaite encore un Joyeux Anniversaire… Il est
très prévenant, attentionné et généreux…
Thierry va rencontrer les parents d’Aurélie :
Hélène et Emmanuel Ils habitent apparemment un peu dans la montagne. Je
comprends pourquoi, planquée dans la pampa, elle avait du mal à rencontrer un mec
et qu’elle a dû se « rabattre » sur son alter-ego dans les
Alpes-du-Sud !!! Mais au fait, je ne sais plus ce qu’elle fait dans la
vie, elle… Ah oui, auxiliaire de vie scolaire… Il pleut : « Soirée pluvieuse, soirée heureuse »,
dit Aurélie……. toujours optimiste ! Et lui « Heureuse ou malheureuse ? », oui, c’est vrai, ça
finit pareil !!! En même temps, ils n’avaient pas prévu de garden-party,
et donc, qu’il pleuve ou pas, ça ne change rien !
Je me demande si Aurélie est réellement
toujours naturellement aussi optimiste, positive et « superlative »
ou si elle joue un rôle, si c’est une stratégie pour se faire aimer… ou si elle
se shoote au Red Bull ou aux tisanes d’herbes illicites…
« Superlative », je ne sais pas
si ce mot existe, mais je l’ai inventé pour elle, elle me l’a inspiré. En
effet, pour elle les choses ne sont jamais bien ou bonnes, mais toujours
« super » !
Les voisins arrivent. Il y a des cadeaux
pour Aurélie et pour Thierry. Pour elle, un bouquet de roses blanches, pour
lui : un opinel géant… et comme le veut la superstition, elle lui dit
qu’il faut qu’il donne une pièce. Thierry voulait ouvrir délicatement le papier
cadeau et elle lui dit : « Craque
tout, tu vas pas le réutiliser ! »… MDR !!!
Quelque part, ok, elle est peut-être
aussi impatiente que lui de savoir ce qu’il contient, mais d’un autre côté, IL
FAIT CE QU’IL VEUT, c’est SON cadeau, ET IL « CRAQUE TOUT » S’IL LE
VEUT !!! Non mais, de quoi j’me mêle !!! Elle fait la nana cool et
sympa, mais elle a un « bon » petit caractère – « bon »
dans le sens de « sacré » ! – et elle est assez dirigiste et
autoritaire… Ce qu’il lui reprochera, d’ailleurs…
Thierry remercie les
parents de lui avoir fait rencontrer leur fille ! Thierry tutoie le futur
beau-père… Le père, lors du passage des portraits en janvier, il a de suite
aimé Thierry, donc il a dit à sa fille de lui répondre. Thierry a avoué avoir
un caractère de cochon, le père dit qu’Aurélie a aussi ses coups de Calgon…
KLM laisse encore
présager le pire pour la suite…
Le père dit que Thierry
est une perle rare pour une autre perle rare…
Et au moment d’aller se
coucher, la phrase classique et bien lourdingue de tous les parents à leurs
enfants qui vont se coucher avec leur copain ou leur copine : « Soyez sages, les enfants… »…
sous-entendu « Ne le soyez pas » ou « Parce que nous ne sommes
pas dupes et nous savons bien ce que vous allez faire ». Non mais, de quoi
je me mêle ?!
Christophe tourne comme une
bête sauvage en captivité dans l’appartement. Marie-Noëlle lui a préparé une
surprise : ils vont aller au théâtre, mais ça ne lui a pas fait super
plaisir, apparemment… Il a eu une réaction mitigée… Christophe veut rembourser
la place à Marie-Noëlle… Ah, les femmes modernes qui invitent les hommes et
paient pour eux, ce n’est pas encore arrivé dans les campagnes. En même temps,
ils sont au moins galants pour ça, du coup… alors que les hommes de la ville
n’ont même plus ça, dans certains cas !
Assis dans le théâtre,
il parait détendu, content, ils rigolent bien ensemble, on pourrait penser
qu’il se lâche et se décoince...
Sortis du théâtre, il
fait un peu la gueule, il n’est pas plus enthousiaste que ça… « Oui, oui, non, non », répond-il à
la question de savoir s’il a passé une bonne soirée… Il est allé une fois au
théâtre à Nantes… Elle l’invite à boire une bière, à la Madeleine… Un des
endroits les plus chics de Paris, là où sont Fauchon et Hédiard, donc dans un
autre monde pour Christophe… Avec leurs bières, il trinque « À cette soirée », et il ne la
regarde même pas en face… Elle dit : « voilà »… parce qu’elle attendait sans doute autre chose… Le
vendeur de roses passe, elle dit : « Non merci », et lui « C’est
bon »… pour qu’il se casse.
Christophe a souvent
les yeux dans le vide, il parait pensif, on dirait qu’il fait la gueule…
Franchement, il me surprend et même me déçoit, car je l’aurais imaginé meilleur
public et avec un meilleur caractère, plus enthousiaste, plus ouvert à la vie
parisienne et à ses différences avec Marie-Noëlle. Plus curieux, moins dans son
monde, moins avec ses idées de paysan qui arrive à la ville comme un chien dans
un jeu de quilles.
Finalement, il fait le
mec ouvert quand il est à la campagne, il fait moderne parce qu’il a des
activités telles que le théâtre et que ça ne fait pas plouc… Il aurait pu
choisir Biniou, accordéon, mais non… par contre, quand il est en ville, il n’est
pas du tout ouvert…
En réalité, il n’est
pas faux-cul, il n’arrive pas à faire bonne figure si ce n’est pas ce qu’il
ressent, et c’est ce que je lui reproche parce que moi, par éducation, j’aurais
agi différemment. La frontière entre la diplomatie et l’hypocrisie est très
très floue… Disons que c’est le même mot, avec des connotations
différentes : être diplomate est une qualité, être hypocrite est un
défaut… mais au bout du compte ça qualifie les mêmes comportements.
L’avantage d’être comme
il est, c’est que Marie-Noëlle, même si elle ressent des sentiments pour lui et
s’il lui plait vraiment, elle va sentir et comprendre qu’il y a quelque chose
qui cloche et ne tourne pas rond, qu’il manque d’enthousiasme, qu’il n’est
vraiment pas bien et pas à l’aise.
Au bar, ils sont seuls
en terrasse, tous les autres clients sont à l’intérieur, et ils sont
pratiquement devant le feu rouge, ils regardent passer les voitures, comme les
vaches les trains à la campagne… Elle dit que les gens aiment venir à Paris
pour un spectacle, pour n’importe quoi, qu’il y a toujours quelque chose à
faire à Paris. Elle fait très chic, elle a un accent très « Madame »,
quand-même…
Au bar, Marie-Noëlle dit
qu’elle a beaucoup d’amis mariés, qu’elle a beaucoup d’amis célibataires, mais
qui s’installent dans leur célibat et que, finalement, elle ça la fatigue…
elle, elle en a marre… Pour faire comprendre à Christophe qu’elle est vraiment
motivée par la vie à deux. D’un autre côté, coincée comme elle est, ça
n’encourage pas les rencontres !
Le 2e jour
chez les prétendantes :
Nicolas et Magali se
préparent. Magali se fait les plaques pour se lisser les cheveux, et bien sûr
ça prend un peu de temps. Nicolas, toujours taquin, dit qu’il n’a pas besoin de
tous ces artifices pour être beau, qu’elle est jalouse qu’il soit brun
naturellement… C’est vrai qu’ils se parlent toujours comme s’ils se fritaient,
et finalement, ça risque d’arriver…
Ils ont prévu un
pique-nique dans un parc lyonnais : tomates cerise, pâté lorrain avec du
vin rouge, salade de pâtes avec tomates et saumon… Le pâté lorrain a l’air
délicieux. Finalement, il veut goûter la salade de pâtes. Elle a des boites
Ikea… pour info… MDR !
Visite de la Basilique
de Fourvière avec la façade en travaux. Nicolas a été perturbé et déçu car Magali
n’a pas été super enthousiaste à toutes les surprises qu’il lui a faites. Elle
n’a pas été habituée à ça, elle pleure, c’est trop beau pour elle, et du coup
elle prend tout mal, même ses taquineries sur la salade de pâtes… Elle a eu des
hommes qui lui ont menti, qui lui ont fait du mal, et du coup elle est
compliquée, et Nicolas est déçu… Il est un peu ailleurs, distant… bizarre…
Nicolas, c’est un homme
excessif en tout : il aime ou il déteste, c’est tout ou rien, et quand il
fait les choses, ce n’est jamais à moitié. Du coup, là, avec Magali, comme il
est amoureux, il fait tout ce qu’un homme amoureux a envie de faire pour l’être
aimé… KLM dirait « pour sa belle », mais je ne suis pas KLM !!!
Et donc, en tant
qu’homme qui donne sans compter et SE donne sans compter, il attend qu’en
retour on soit dans la même logique que lui. Ainsi, il aimerait qu’elle soit
aussi démonstrative que lui, il aurait aimé qu’elle montre davantage sa
surprise et son contentement quand elle a reçu les cadeaux… même si j’ai
l’impression qu’elle l’a fait… Enfin, il faut aussi s’adapter aux gens et,
aimer, c’est aussi accepter que l’autre soit différent, qu’il ne réagisse pas
exactement comme nous, que ça ne soit pas notre clone.
Je reconnais moi-aussi
que, quand je me « décarcasse » à faire une surprise, que j’y ai cru,
que j’ai vraiment eu envie de faire plaisir et que je croyais vraiment faire
plaisir, j’attends aussi des réactions à la hauteur de mes espérances.
PUB
Émeline et Aurélien :
grande complicité entre eux, et la grande sœur d’Émeline, Magali, arrive le
matin avec un cake fait maison à la main, et a envie de connaitre Aurélien. Émeline
le présente comme « le prétendant survivant »,
le « Survivor ». La sœur
commence à poser des questions. La première, c’est « Comment tu as trouvé le Gers ? »… « Venteux, pluvieux, nuageux, et il y a très
très peu de soleil »… C’est vraiment moche, chez Émeline. Les meubles
sont horribles. La sœur lui demande s’il produit du Champagne, mais non, il y
en a autour, et Aurélien travaille dans une grosse coopérative de
déshydratation de luzerne. Il produit des granulés de luzerne. Il n’aurait pas
peur de changer de boulot. Aurélien est à l’aise.
Émeline aime
qu’Aurélien dise quand il ne veut pas quelque chose, qu’il ne se laisse pas
faire, qu’il ne soit pas toujours d’accord avec elle… ce qui n’aurait pas été
le cas de M. Guimauve, à savoir Cyril, qui la regardait avec des yeux de merlan
frit, comme si elle était la 8e Merveille du Monde… La sœur, Magali,
les trouve « assez compatibles »…
Christophe, après la première
nuit chez Marie-Noëlle : il se sent bien de respirer de l’air, il dit en
avoir besoin, il dit qu’il y a un peu de nature… alors qu’on ne voit que des
toits, des bâtiments… et un platane…
Malgré le malaise, Marie-Noëlle
invite Christophe à Paris, dans un resto très branché avec des amis très
parisiens… Pas bonne idée pour qu’il se sente à l’aise… au contraire, elle
enfonce le clou pour qu’il ait vraiment d’être tombé là comme un cheveu sur la
soupe, pas du tout dans son élément… Vu qu’il fait du théâtre, qu’il s’exprime
facilement, il fait sa présentation de façon très fluide auprès des amis de
Marie-Noëlle, et il est à l’aise avec eux. On dirait un peu des
« bobos »… Il leur explique très bien son activité, en résumé, mais
précisément quand-même. C’est intéressant…
Christophe a une
propriété de 120 hectares………. et un hectare = 10 000 m². Les Parisiens
croient rêver, au prix du m² à Paris…
Ils mangent, les
assiettes sont très bien présentées, ça a l’air bon… Il dit toujours qu’il
n’est pas difficile, mais il est chiant quand-même… Quelque part, c’est même
quasiment une insulte à certaines choses de dire « de toute façon, je ne
suis pas difficile »… Dans ce cas, pour la bouffe, il est dans un resto
semi-gastronomique ou un resto sympa en tout cas, et il dit qu’il n’est pas
difficile comme s’il était dans une gargote immonde et que ça lui convienne
bien aussi. Dans ces cas-là, on se dit que plutôt que de l’emmener dans un
resto un peu haut de gamme, on aurait pu l’emmener dans un resto quelconque parce
que, quoi qu’il en soit, il n’apprécie pas plus que ça !!!
Il dit préfère jardiner
que cuisiner, Marie-Noëlle aime cuisiner. C’est vrai qu’elle est très urbaine,
la Marie-No’ !
Un truc qui m’énerve,
depuis quelque temps, c’est que mes nouvelles lunettes de soleil ont plus ou
moins la même forme que les siennes… Du coup, comme je suis blonde, que j’ai
les cheveux un peu courts depuis peu même si je n’ai pas du tout sa coupe, que
je fais plus ou moins le même boulot qu’elle, elle a un an de plus que moi… quand
je suis avec ces lunettes, je me vois comme si j’étais elle et ça
m’énerve ! Pourtant, je suis beaucoup plus rock’n roll qu’elle, ça c’est
sûr !!!
Elle, elle dit qu’elle
sait ce qu’elle veut, et elle dit que Christophe est en phase d’observation… Elle
dit qu’il est important pour elle que ses amis sachent pour qui elle a flashé…
« un peu… un peu beaucoup »…
Et mauvaise limonade, parce que ça n’a pas l’air réciproque ! Lui, il
n’est pas en phase d’observation, mais en phase de « j’me fais chier à
mourir, vivement que le temps passe et que je rentre chez moi et que cet enfer
cesse ! »
Chez les parents de
Magali, avec Nicolas bien sûr. Ses parents : Françoise et Alain… et
son frère, Bruno. Magali trinque à ses 31 ans… et surtout à son amour…
C’est la mère de Magali
qui a dit à sa fille de regarder le portrait de Nicolas, et elle pensait qu’il
lui correspondait.
La mère apprécie
Nicolas… et elle veut savoir ce qui a fait qu’il a choisi sa fille… Tous les 2
parlent de « petit coup de
cœur »… et qu’est-ce qu’elle est lourdingue et vulgaire, la mère…
Nicolas, avec son super humour et son esprit taquin, a dit qu’il fallait gérer
les beaux-parents… et là, la mère, ça a l’air d’être du lourd !!!
Les parents sont super
enthousiastes, ils sont optimistes, la mère rit comme une idiote et de façon
pas très classe, mais bon… Bref, ils y croient !
Nicolas doit rentrer à
Nancy…
En Haute-Savoie, Thierry
va connaitre les plaisirs des grandes tablées familiales. Il fait celui qui
appréhende, mais il est à l’aise… Et elle, elle se gare et prend 2 places… Pas
grave… Enfin, si ça m’énerve, car elle n’est pas seule au monde !
Le repas se passe dans
un chalet, « le chalet de la dame de Haute-Savoie », celle de Francis
Cabrel, dit KLM… Ils sont accueillis par les amis qui chantent « Étoile des neiges, mon cœur amoureux »…
Au secours !!! Ça me fait penser à Jean-Louis, de la saison dernière je
crois, qui n’arrêtait pas de chanter cette chanson à son Abigaël sur le
tire-fesses !!! Ils lui crient : « Bichette, va élever les vachettes ! », et ils demandent
un bisou… Pourquoi, obligatoirement et systématiquement, quand les gens sont en
groupe, ils deviennent cons et lourdingues ! Au lieu d’unir leurs
intelligences, ils unissent leur connerie !
Aurélie leur dit qu’ils
sont juste une équipe de fous furieux…
Il fait quand-même très
« pèquenot », Thierry…
Thierry trinque à 100
ans ensemble, et comme il dit qu’on dirait que ça fait 20 ans qu’ils sont
ensemble, elle dit qu’il ne restera plus que 80 ans… Ça change et c’est très
loin de Christophe qui, à Paris, trinque avec sa bière « à cette soirée »… Un est dans le
long terme… l’autre dans l’instant présent… et le futur immédiat…
Aurélie a quand-même un
humour que j’aime bien, et quand elle demande à ses amis d’éviter de dire du mal
d’elle, parce qu’elle voudrait que ça fonctionne, je trouve ça drôle…
Thierry se sent comme
chez lui…
Christophe se rend de
plus en plus compte qu’ils sont d’univers totalement différents, et il
réfléchit beaucoup, se demande comme ça
peut évoluer. Elle aime le théâtre en tant que spectatrice et dans de beaux
théâtres urbains, la musique classique, lui aime les choses plus simples. Il a
46 ans, elle 48, il veut fonder une famille et avec Marie-Noëlle, ça sera
impossible. Enfin, pourquoi ? Si elle a toujours ses ragnagnas, rien n’est
perdu !!! Sauf que, comme ce ne sont « pas des lapins ni des animaux », dixit Christophe, qu’il
compte attendre encore Dieu sait combien de temps avant de passer à l’acte,
c’est sûr que d’ici là, elle risque d’être ménopausée !!!
En attendant, il est
content d’aller marcher et ils vont dans la forêt. Ouf, de la nature et de la
verdure !
Christophe prend son
courage à deux mains, ils s’assoient et lui dit qu’il va venir aux choses
essentielles : il la remercie d’avoir mis autant d’énergie pour lui faire
plaisir, et il pense pour elle, qu’elle ferait un gros sacrifice si elle
changeait d’environnement. Elle dit qu’elle s’adapte aux situations. En fait,
il fait style : « Oui, je t’épargne l’épreuve de tout quitter pour
moi »… au lieu de lui dire que c’est lui qui a un problème… Enfin, dans un
premier temps c’est l’excuse qu’il invoque !
Christophe insiste, et
il reparle de son portrait, qu’un de ses amis lui a rappelé qu’il voulait un
enfant, que rien n’est plus beau, et du coup, il veut se donner une chance
d’avoir un enfant. Il veut vraiment fonder une famille. Il est désolé de lui
faire de la peine, mais il veut se donner une chance d’avoir ce plaisir.
Il est franc, honnête,
sincère, diplomate, dit les choses avec tact… Marie-Noëlle le remercie de sa
franchise et de son courage… C’est sûr !
Il dit qu’il ne
regrette rien, Marie-Noëlle non plus d’ailleurs, qui ne regrette pas qu’il soit
venu, et on le reverra au bilan… avec des surprises, apparemment…
Quelque part, même s’il
est franc, je pense qu’il aurait été plus franc s’il n’était pas allé chez
Marie-Noëlle, parce qu’elle s’est fait des films sur l’issue possible d’une
relation avec lui, donc elle a continué à s’investir sentimentalement ;
pendant le week-end, si elle n’est pas trop cruche, elle aura bien remarqué
qu’il était ailleurs, qu’il n’était pas bien, qu’il n’était pas dans le truc,
et elle aurait peut-être attendu ne serait-ce qu’une étreinte, qu’il lui tienne
la main, un petit geste d’affection, et rien, que dalle, walou, nada, niente,
nothing : de la distance, du malaise, un mec jamais content ni
enthousiaste de rien…
Nicolas et Thierry sont rentrés chez eux.
Les week-ends en
amoureux :
Nicolas et Magali à
Amsterdam
Thierry et Aurélie à
Prague
Émeline et Aurélien
dans les Deux-Sèvres dans un château médiéval, parce que la miss n’a trouvé
personne pour la remplacer, donc elle ne pouvait pas trop s’éloigner.
Dans le train, Nicolas
et Magali, Nicolas parle de « week-end
en amoureux »… c’est mignon comme tout…
Amsterdam : c’est
vraiment la ville. Ils sont dans un taxi et à proximité de l’endroit où ils
doivent se rendre il y a des travaux, donc ils doivent continuer à pied. À
moins que ça ne soit une feinte parce que le taxi ne peut pas aller devant
l’hôtel… vu que c’est un cours d’eau !
Le chauffeur de taxi
leur parle : Nicolas dit qu’il ne parle pas le dialecte… Nicolas envoie
toujours des petites piques, pas méchantes, mais à force, elle qui est
susceptible, ça va tout faire partir en sucette, un jour ou l’autre…
Ils vont sur une
péniche, et l’intérieur est merveilleux : très moderne, avec une cheminée…
Le lit est super confortable apparemment, il fait un peu trampoline. De
l’extérieur, on ne dirait pas que ça renferme un appart’ aussi beau et
luxueux !
Nicolas n’est pas fan
de la ville, on l’a compris. Elle s’est occupée du logement, elle lui dit de
s’occuper du reste.
Émeline et Aurélien n’ont
pas pu s’éloigner trop de chez Émeline… Ils sont donc en France, dans les Deux-Sèvres.
On leur ouvre le château à l’aide d’un pont levis. Château de 1404, Emeline est
prête à jouer le jeu de l’époque. Ils sont près de Parthenay…
Émeline dit qu’il ne
faut pas utiliser son téléphone, qu’ils sont en plein milieu médiéval… C’est
anachronique, en effet !
Un petit tabouret, la
nana, une anglaise ou une hollandaise, ou je ne sais quoi, dit que c’est une
prieuse…
Émeline s’assoie et la
personne qui les reçoit dit que c’est Miss Poitou… Émeline rectifie et précise que
c’est plutôt Miss Midi-Pyrénées…
Il y a une jolie sculpture
moderne d’une licorne… En vrai, par contre, il y a des moutons pas du tout
tondus, dont un avec une drôle de tête, ronde, très rare… Et des cochons noirs
avec une tête de bouledogue… Ils ont tous de drôles de têtes rondes, ces
animaux qu’on fait voir…
À Prague, Thierry et
Aurélie vont dans une petite brasserie qui est vers le musée national, en s’éloignant
de la vieille ville. Ils ont d’ailleurs du mal à s’y rendre, à ce musée… Chacun
interprétant différemment le plan et l’itinéraire…
Tiens, on dirait les
Cable Cabs de San Francisco… les transports en commun de Prague…
Ils ont un problème
avec l’orientation et le plan…
D’après KLM, c’est
tendu entre tous les deux !
Dans la brasserie, ils
se posent. Ils boivent tous les deux de la bière… Franchement, dans cette
émission, à part Émeline qui avait pris de la San Pellegrino lors de sa
rencontre avec Christophe et Christelle, dans cette émission, ils ne lésinent
pas avec l’alcool !!!
C’est Aurélie qui
décide de tout, et apparemment ça saoule un peu Thierry. Elle pensait qu’il aimait
ça, et en fait non, il aimerait décider un peu. Elle pense que c’est lui le
patron mais que c’est la femme qui décide… mais n’est pas Hillary Clinton qui
veut, et lui, il dit que c’est le patron qui a le dernier mot et qu’elle va en
chier… Quel programme pour leurs 100 ans de vie commune à venir !!!
Elle lui dit qu’il
parle mal… Il lui dit d’arrêter de manger… Chacun a ses récriminations à faire
à l’autre… Ensuite, c’est froid entre eux, il dit qu’il ne parle plus… J’ai déjà
connu ce genre de crétin qui, d’un coup, parce qu’il ne supporte pas qu’on lui
fasse la moindre réflexion quand lui ne se gêne pas de balancer des vacheries à
tire-larigot, se ferme d’un coup et devient totalement muet et autiste, qu’on
ne peut plus toucher, dont on ne peut plus rien tirer… Grrr… L’horreur
totale ! Franchement, à Aurélie, je ne lui souhaite pas que ça fonctionne,
avec ce mec, parce qu’il est odieux… et effectivement, on dirait un très très
vieux couple… mais pas dans le bon sens du terme. Pas parce qu’ils sont
attachants, complices, qu’ils dégagent tellement d’amour – oui, je sais, c’est
rare de nos jours… - mais parce qu’ils font vieux couple……. USÉ !!! Qui a
du mal se supporter, qui se balance des vannes dans la tronche à longueur de
journée, bref, pas terrible…
Aurélie s’est vexée,
lui dit de choisir où aller pour la suite… Finalement, ils partent main dans la
main… Mais leurs cœurs sont-ils unis que leurs mains ?!
« Prague, ville de l’alchimie… »…
souligne KLM… Oui, ok, eh bien Paris, ville de l’amour, c’est quand-même celle
où 1 mariage sur 2 part en cacahuète !!!
À Amsterdam, Nicolas
et Magali, à l’heure du repas… Ils boivent tous de l’alcool,
quand-même…
Magali lui demande s’il
retournera à Lyon, il dit qu’il y passe pour aller en vacances… Il est chiant
quand il s’y met ! Moi, une telle réponse, ça m’aurait vexée et pris la
tête aussi ! Un peu de taquinerie, ça va, mais au bout d’un moment, faut
savoir s’arrêter et être un peu sérieux de temps en temps, dire les choses
telles qu’elles sont et pas son contraire pour faire de l’humour… Je suis un
peu spécialiste de ce genre de connerie, et ça m’a plutôt desservi !
Magali prépare des
patates, elle reproche à Nicolas de ne rien faire, et lui il lui demande si
elle veut une médaille pour ça…
Elle lui demande si
elle va avoir comme note un 3/10… Elle aimerait qu’il lui fasse des
compliments, comme par exemple quand elle conduisait un tracteur…
Nicolas reconnait qu’il
est un peu avare de compliments… Il avait dit, avant, qu’il ne dirait plus
rien… C’est typique de ces mecs… de la campagne…
Nicolas trinque « à tes amours » et « à nos amours »… J’aimerais ça,
tiens, le « TES » et le
« NOS » !!! « À
notre amour » m’aurait semblé plus approprié ! En disant ce qu’il a
dit, il semble qu’elle va avoir d’autres mecs……. et lui d’autres nanas, que
leur avenir à deux n’est pas d’actualité…
Dans les Deux-Sèvres, Aurélien
est habillé en ménestrel, Émeline se met une tenue de princesse, ou de gente
dame du Moyen-Âge… Elle lui dit être sa princesse pour ce soir... Aurélien
dit : « Pour ce soir ?
Mais aussi pour les autres jours »… J’adore cet humour… Rien à voir
avec Nicolas qui, tel un bulldozer et avec ses gros sabots, écrase et massacre
tout sur son passage…
Émeline dit qu’en
prenant leur temps, ils feront les choses plus vite que beaucoup… D’un autre
côté, elle a eu de la chance qu’Aurélien insiste et accepte un repêchage, comme
Cyril à qui elle avait téléphoné après l’avoir jeté après le speed-dating… Lui,
d’ailleurs, il a eu la double peine et le double râteau : il s’est fait
rétamer au speed-dating sur 3, il est arrivé 3e, et une fois qu’elle
l’a invité, il a rappliqué plus vite que La Redoute, en moins de 24 heures
chrono… et au moment de partir, quand il a voulu l’inviter chez lui pour mieux
faire connaissance, et sans engagement, elle lui a dit que non… Pas cool,
ça !
À table, pour le dîner,
ils ont 2 bouteilles de vin : rouge et blanc. Ok, tous les mets ne vont
pas avec les mêmes vins, mais bon… Aurélien a chaud, il enlève sa chasuble je pense,
Émeline est « à oilpé dessous »…
MDR… Du coup, tous les mecs vont fantasmer…
Ils ont leur chambre
avec lit à baldaquin dans un donjon… Waouw !
KLM n’est pas très
rassurante ni optimiste sur la suite des couples…
Pour Thierry
et Aurélie, promenade en barque sur la Vltava , le fleuve de la ville…
Ça tangue… Il ne l’aide pas… Il n’est pas très prévenant… Punaise, quel mufle
ce mec ! Pour ce qu’il n’est pas d’origine paysanne, il en a pourtant les
traits de caractère ! Peut-être qu’à force de vivre avec eux, quand il
était petit, et maintenant de vivre seul, ça a fait de lui un ours… mal léché…
Thierry doit ramer…
Aurélie lui dit qu’il est meilleur vacher que pagayeur. Ça lui plait de faire
des comparaisons entre ses compétences de vacher et le reste ! Il rame
fort, il l’a arrosée avec les rames, elle a les fesses mouillées… Super…
Visite de la vieille
ville : belle vue sur la ville à partir du château qui la domine.
Ils reparlent d’eux,
s’embrassent, elle dit qu’ils ont envie de créer un foyer, lui : « de te supporter »… alors que ce
n’est peut-être pas elle la plus chiante à supporter, comparé à son caractère
pourri à lui !!! Elle dit qu’il faut créer des bases pour créer quelque
chose de fort… Les lieux communs et les évidences sur la relation amoureuse !!!
N’importe quel crétin dirait la même chose, et je ne pense pas qu’une seule
personne au monde dirait le contraire !!!
Oh, les jolies tulipes
perroquets blanches et roses !!! Forcément, la Hollande sans les tulipes,
ça ne serait pas la Hollande… Et en plus, comme c’était au printemps, c’était
la bonne saison !
Balade en vélo dans
Amsterdam pour Nicolas et Magali.
Nicolas à
Magali : « On t’a enlevé les
roulettes y’a pas longtemps, à toi ! »… Après, il lui dit de ne
pas aller si vite… Franchement, dès qu’il ouvre la bouche, c’est pour donner un
ordre, dire un truc négatif, la critiquer, la rabaisser… Alors qu’il ne soit
pas un mec qui fait beaucoup de compliments, ok, pourquoi pas ?! Mais ne
pas faire de compliments, c’est une chose, pourquoi pas, chacun son caractère
et son tempérament… mais casser toujours les gens, les dévaloriser, leur dire
qu’ils ne font rien de bien ou que ce qu’ils font n’est pas extraordinaire,
qu’ils sont moins bien que lui, etc., ça en est une autre…
Alors qu’ils font du
vélo, il pleut – eh oui, ça arrose les fleurs, pas étonnant qu’elles soient si
belles ! – et Magali est trempée. Je ne pensais qu’Amsterdam était une
ville où ça montait autant ! Je pensais que c’était plus plat…
Nicolas dit qu’ils
apprennent à se connaitre mutuellement, dans les moments où il doit avoir des
montées de pulsions d’amour comme certains psychopathes ont des pulsions
criminelles…
Les fleurs sont
superbes… des parterres entiers… de tulipes perroquet roses, blanches et avec
la base jaune.
Magali et Nicolas se
confient à la caméra, ils disent que c’est bien de se retrouver ni chez l’un ni
chez l’autre, qu’ils apprennent à se connaitre, qu’ils se cherchent… et Magali
précise, en regardant Nicolas : « Surtout
toi… ».
Ballade sur un plan
d’eau, où il ne faut pas perdre l’équilibre car il y a des cercles sur lesquels
il faut marcher, de plus ou moins grande taille……. et ils ne sont pas seuls……
Nicolas dit qu’ils ont
un caractère assez fort tous les deux, Magali confirme qu’ils ont un « gros caractère tous les deux »… et
Nicolas de dire : « Toi plus
que moi, moi ça va, je suis une crème ».
Elle dit qu’ils se
cherchent un peu tous les deux… surtout lui…
Elle dit qu’il pique…
et qu’elle est très entière, donc c’est pas évident. Il dit qu’il se raserait
demain, alors…….C’était au sens figuré… mais il aime bien jouer sur les
mots ! Il est quand-même aussi très arrogant et insolent…
Nicolas dit qu’il a
des sentiments qui naissent, qu’elle fait attention à lui, qu’elle l’écoute, et
que même si elle a un caractère compliqué, qu’elle n’est pas la plus simple du
monde… Magali dit qu’ils n’ont pas la même façon d’exprimer les choses, que
pour elle c’est allé plus vite et qu’elle, elle est déjà amoureuse…
Pour leurs projets, Nicolas
dit qu’il faut qu’ils apprennent déjà à bien se connaitre, que ça fait qu’un
mois et demi… que c’est tout beau tout neuf, qu’il est un peu raisonnable… et
qu’elle l’est peut-être moins que lui…
Magali dit qu’elle
peut avoir une apparence froide, mais elle dit vouloir rendre Nicolas heureux…
Émeline et Aurélien :
Balade sur une barque très sommaire autour du château : ce n’est pas
stable du tout… Quelle horreur !!! Elle n’arrête pas de lui dire de ne pas
bouger. Il lui dit de ramer… et en effet, c’est elle qui rame… Je suis sûre
qu’avec Cyril, jamais il ne l’aurait laissé ramer !!!
Aurélien lui demande
si elle a trouvé sa moitié, elle dit que oui, et lui dit qu’il l’a trouvée
aussi… Elle l’espérait, ne voulait pas revoir ses critères à la baisse, et l’a rencontré…
Il dit qu’elle correspond… à 99,9% de ses critères… et il rappelle que lui
était à 95… Elle baisse les yeux et dit qu’il a rattrapé, depuis… Ouf !
Enfin, en même temps, 5%, c’est vrai que c’est facilement rattrapable ! Ils
sont chiants, tous les 2, avec leurs pourcentages !!! LOL !!! Moi,
avec les hommes que j’ai rencontré, il vaut mieux que je ne fasse pas ce genre
de calcul, parce que je pleurerais !!!
Émeline explique
qu’avec Aurélien, ils ont eu besoin de construire leur histoire, que ça n’a pas
été un coup de foudre, que ça n’a pas été un claquage de doigts, et qu’une fois
qu’ils ont pris le temps de se découvrir, c’est là que ça s’est transformé en
évidence. Aurélien dit qu’ils étaient faits l’un pour l’autre, mais qu’ils
étaient un peu à l’opposé l’un de l’autre.
Les 850 km qui les
séparent ? Elle dit que c’est « une
paille »… il dit que c’est une « grosse paille, c’est même une botte », et Émeline dit qu’ils
vont vite la régler, la paille. C’est marrant, parce qu’ils ont tous les deux
les mêmes expressions au même moment… et ils vont faire en sorte que ça le
soit… et que ça disparaisse !!!
Aurélien cherche déjà
du travail, il bouge pour descendre dans le Gers.
Sur la barque, Émeline
est à 4 pattes, Aurélien lui dit de ne pas tomber que c’est « juste interdit », et comme
il a la vue sur ses fesses, il siffle… C’est moyennement classe, mais bon… Elle
est dégourdie, elle arrive à sortir de la barque seule, sans la moindre aide de
la part d’Aurélien, et sans tomber à l’eau !
Aurélien demande à Émeline : « ‘On en est où, aujourd’hui ? ».
Elle lui répond qu’ils sont ensemble et que c’est parfait. Il approuve : « Exactement ».
Sortie du château et
retour à la réalité : elle appelle Aurélien « Chéri »… elle qui faisait super froide et distante, l’amour l’a
métamorphosée et rendue toute douce et tendre… D’un autre côté, c’est normal…
Et KLM qui dit que,
pour le bilan, « espérons
qu’Aurélien soit à ses côtés »… Elle fait chier !!!
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Fin des séjours :
À Prague, colline de Petřín,
aussi appelée Colline des amoureux… Eh bien, si avec ça leur amour foire,
ça ne sera vraiment pas faute d’y avoir mis le paquet et d’avoir tout tenté,
avec tous les « lieux des amoureux » où ils seront passés ! Les
ponts, à Paris, à Annecy, dans l’arrière-pays niçois, la colline à
Prague !!! Toujours les « super »
d’Aurélie… Pft !!!
Ils trinquent :
« À nous »… On est loin de
l’habituel « À nos 100 ans »…
Ils parlent, à cœur
ouvert. Il dit qu’il est chiant, elle dit qu’elle l’est aussi et qu’elle ne l’avait
pas mis assez dans sa lettre… Ils « débriefent »,
il dit que c’est bien de débriefer, au moins on n’en parle plus. Lui, il dit
que même si elle est une fille et qu’elle est sensible, tant pis, il envoie ce
qu’il a à dire dans la figure…
Il dit que si on veut
avancer, « il faut savoir dire le
pour du contre »… Tiens, elle est nouvelle, cette formule ?!
Merci, Thierry, mais
inutile de préciser !!! On a bien noté que tu es un rustre qui manque
totalement de tact et de diplomatie, que quand tu as quelque chose à dire, tu
ne l’envoies pas dire, peu importe à qui et quoi !
Aurélie cite ce que
quelqu’un lui avait dit un jour, et qui selon elle leur convient bien : « Le vent n’est favorable qu’aux bateaux qui
savent où ils vont »… Thierry dit que c’est pour ça qu’ils naviguent
dans tous les sens, et elle que non, que c’est pour ça qu’ils avancent bien.
Lui fait signe avec la main que ça zigzague et il dit que c’est pour ça qu’il y
a la barre qui zigzague… Bizarre… Il dit : « Comme aujourd’hui, on tournait en rond »… mais ça, c’était au
sens propre, dans la ville… Des fois c’est à se demander s’il est vraiment con
ou s’il le fait exprès, ce mec !!!
Elle n’est pas d’accord,
que si la veille au soir ils étaient très fatigués, et donc il y a des moments
difficiles, elle dit que c’est parce qu’il y a beaucoup de changements, que
leur vie est drôlement en train de changer que ce soit pour lui ou pour elle. Lui,
toujours terre-à-terre et très cash, dit qu’elle change et qu’il faut qu’elle
change…….. et qu’ « il faut en
chier pour s’aimer », que c’est pas toujours plat, que c’est ce qui
fait les moments les meilleurs, avec des moments plus bas, sinon ça reste trop
plat. Elle dit que c’est une certitude... Il dit que ça a l’air de se
rapprocher de plus en plus… en regardant dehors, et en la regardant juste à la
fin… Par timidité, pudeur ? Je pense qu’elle pensait le contraire… car
elle demande : « Nous on se
rapproche de plus en plus, ou… »… Il répond : « Ouais, non ? ». Elle dit :
« Mais si »… Et lui : « Après, je sais pas ton point de vue… »…
Elle dit : « Bien sûr que si… »…
Lui dit que le sien est « dans le
bon sens »… et il l’embrasse… Mais ce n’est jamais doux, tendre,
passionné. Juste un bisou sur la bouche et basta… Il regarde la vue de la ville
by night d’un côté, elle, elle le regarde toujours amoureusement… Je ne sais
pas pourquoi elle dit qu’elle « ador
Galeli quand-même », là je n’ai pas compris ce que c’était ou
qui c’était… et lui boit un coup… au moins il entretient sa couperose… Pft !
Moi je ne pense pas
qu’il faille en chier, mais bon…
En plus, si elle fait
une métaphore avec les bateaux, moi j’ai l’impression que leur histoire est
loin d’être Un long fleuve tranquille… et que ça va plutôt finir comme
Titanic !!!
Et à la fin, KLM qui
demandait si Émeline et Aurélien seraient ensemble au bilan, eh bien oui, au
bilan on les voit ensemble et s’embrasser. Elle fait chier avec ses questions
ou suggestions débiles !!!
A priori, ça aurait
résisté pour :
Thierry et Aurélie…
même si KLM lui dit qu’elle a l’impression que Thierry freine des 4 fers et
qu’apparemment Aurélie pleure ;
François et
Marie-Line,
Émeline et Aurélien,
Christophe et la ronde
qui s’ignore de Christelle… ou plutôt qui voudrait que les autres ne la voient
pas ronde…
Je pense n’avoir
oublié personne…
Les autres,
apparemment, ils ont rencontré l’amour, hors émission…
À suivre… pour la
dernière ligne droite…
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