Dans
le générique, on voit la nana en maillot, pour Marc, et KLM qui dit :
« Oui, elle a l’air gentille »…
Humour…
En Haute-Saône
chez François, 51 ans, céréalier qui élève aussi des vaches et des chevaux. Le
fan de Johnny, rocker au cœur tendre que la vie n’a pas épargné.
Il a
invité Maryline, auxiliaire de vie bretonne de 43 ans… Elle marche en se
balançant à droite et à gauche, avec une démarche lourde, comme si elle portait
des seaux de ciment de 25 kg chacun ! Punaise qu’elle fait
vieille !!! Et Marie-Paule, marseillaise de 55 ans qui est coach en
relooking et qui ferait bien de se regarder dans une glace pour se relooker
elle-même !!! Elle est greffée à son chien, Dior, qui l’accompagne à la
ferme.
Elle
arrive la première chez François…
Marie-Paule, 1ère
phrase à son chien… Dior parce qu’elle doit s’imaginer être dotée de
classe et d’élégance… à moins que ça ne soit pour compenser ce qu’elle n’a pas
et faire croire que si elle appelle son chien Dior, ça va faire classe comme si
elle portait… avec prestance, des vêtements, des accessoires et des chaussures
de Haute Couture. Or, son espèce de bestiole moche, qui ne ressemble à rien, et
est aussi « space » qu’elle…
Dès qu’ils sortent de
la voiture, en arrivant à la ferme : « Allez, attends, si tu pissais, non ? Comme ça c’est fait ? »
Lui, avec sa casquette
vissée sur la tronche même dans la maison et le soir… et qui mâchouille… Eh
oui, un coup de lune sur la tête, on ne sait jamais les effets dévastateurs que
ça pourrait causer sur son neurone unique.
Au lieu de parler de
« vase », il parle de « bocal »…
Ouais…
Il arrive à l’étage
avec le très beau bouquet de fleurs destiné à Marie-Paule, pour le mettre dans
sa chambre et lui montrer où elle dormira. « Voilà, voilà »… Ah non, c’est même pas « Voilà, voilà » mais « Voilô, voilô »… Privilège d’être
arrivée la première, elle choisit sa chambre… Et elle choisit………. en fonction
du chien !!!!!!!!!!!! Pour qu’il soit tranquille…
François d’affaire à
mettre le bouquet dans le VASE sur la table de nuit : « Très parfait ! Eh beh voilô ! ».
Ah, ça c’est nouveau : « TRÈS
parfait »… Très drôle !!! Vu que parfait « tout
court », ce n’est pas plus que parfait et ça ne se suffit pas à lui-même
alors si on rajoute « très », là c’est vraiment parfait-parfait !!!
Elle sait donner des
ordres, la Madame : « Tu vas
chercher la valise et je te donne ton cadeau »… Je déteste cette formulation impérative qui
ne veut pas se l’avouer… mais l’est quand-même !!! Grrr… Et il s’exécute…
Qu’est-ce qu’il a
l’air con, ce chien ! Comme sa maitresse, d’ailleurs… Et on dit souvent
qu’il y a ressemblance entre les chiens et les maitres, en fait…
Il n’arrête pas
d’aboyer, ce crétin ! « Tais-toi,
Youki ! », dit François… « C’est pas Youki ? » : elle rectifie « C’est Dior, tu penses à Christian Dior, voilà,
c’est Dioré »… Beh oui, au cas où il aurait pensé à « Dior, tu penses à Gabrielle Chanel »
ou « Dior, tu penses à Yves Saint Laurent »,
on ne sait jamais…
Et le cleps qui saute
et monte de partout, sur le lit, etc.
Elle lui offre son
cadeau : « Ça vient de la
Bonne-Mère ». C’est dans un joli étui cadeau en tissu violet et dans
un joli écrin de la même couleur : une petite médaille… Pour une nana qui
fait la rockeuse et fan de Johnny, avec sa médaille, on l’imaginerait plutôt
bigote et fan de Mireille Mathieu !!! Elle répète : « C’est la Bonne-Mère ». Elle
pourrait dire que c’est aussi Notre-Dame de la Garde, que sa basilique
surplombe Marseille et qu’on la voit de presque tout Marseille…
Elle : « T’est mieux sans ton truc »… Truc =
casquette. Pour ce qui est de la chemise, elle lui sort un peu du pantalon,
mais bon… « Tu sais que je suis
coach en relooking »… Oui, eh bien elle va avoir du boulot !!!
Lui : « Ah oui d’accord ! »,
il l’avait oublié… « Eh ben
d’accord ! J’en ai b’soin ». Elle lui avait dit, mais il l’avait
oublié. Avec toutes ces nanas, il n’a pas pu se souvenir de tout !
N’empêche, dommage qu’il soit moche, parce qu’il est grand et baraqué, à moins
qu’elle ne soit toute petite… Lui,
depuis tout à l’heure, il n’arrête pas de parler avec l’accent de Marseille, et
elle ne s’en rend même pas compte !!! « Voilô, voilô »… Et elle, elle ne voit pas que son soutif
coque, on ne voit que ça à travers son pull ?! Quel bon
goût !!!!!!!!!!!!!!!!
Il dit qu’il est
impatient d’avoir des nouvelles de Maryline. Je ne comprends pas :
pourquoi n’a-t-elle pas dit plus tôt qu’elle avait un empêchement et qu’elle
arriverait plus tard à la Gare de Besançon ?! Il y a des trucs qui
m’échappent !!!
Suite à un
contre-temps professionnel, Maryline n’arrivera pas le jour-même, mais le lendemain
à 13h30… « Ne m’oublie pas »,
lui dit-elle ! Lui, on dirait que c’est naturel, maintenant, de parler
comme Johnny !!! « Beh voilô,
on a des nouvelles, maintenant ! » ! « On a quand-même
des nouvelles. Voilô, voilô » !!!
Je vais le tttttttttttttttuuuuuuuuueeeeeeeeeeerrrrrrrrrrrrrr ce mec !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Autant Mireille
Mathieu, quand elle chante, elle perd son putainG d’accent d’AvignonG, autant,
Marie-Paule, elle garde son foutu accenG marseillais… Même Céline Dion,
Fabienne Thibeault, Garou, Diane Tell, etc., perdent leur accent canadien,
pourtant à couper au couteau quand ils parlent !!!
Ils chantent le duo de
Johnny et Sylvie : « Si tu n’es
pas vraiment l’amour, tu y ressembles, etc… »
Ils mettent la musique
de Johnny, elle dit ne pas savoir danser, et pourtant il lui apprend… sur
Johnny… comme par hasard… à danser le rock… Il lui fait même un cours avec 1,
2, et expliquer où il faut qu’elle passe, etc.
Dans le Cher,
chez Bertrand, céréalier de 33 ans qui vit toujours chez ses parents.
Il n’a connu qu’une seule relation amoureuse. Passionné de voitures anciennes,
il a toujours le mot pour rire. Il a invité Marisa, une Suissesse de 25 ans,
employée dans une assurance maladie, et Pauline, travailleuse sociale de 25
ans, venue en voisine du Loiret. Elle n’est pas terrible, Pauline.
Arrivée la première,
Pauline est de suite mise au boulot ! Quel accueil !!! Mais c’est de l’humour.
Ils vont chercher
Marisa à la Gare de Bourges, qui arrive de Lausanne après 7 heures de train. Il
est tout petit, Bertrand. Du coup, déjà
qu’il fait jeune, avec sa taille, il fait encore plus jeune…
Gentleman, il propose
de tirer la valise qui roule mal : « Y’a pas une roue qui tourne pas rond ? T’as pas des roues carrées sur cette truc ? »… Truc =
valise.
Marisa lui demande
dans quel département il vit. Il dit que c’est le Cher, le 18 : « Quand tu fais les pompiers, eh bien ça sonne
chez moi ».
KLM : « Notre agriculteur osera-t-il passer en mode
séduction ? »… Ça veut dire que non ?!
Marisa est contente de
sa chambre, celle des parents de Bertrand, avec le grand lit.
En Suisse, quand on
trinque on ne dit pas « Santé ! », on dit « Tchin »… Beh,
en France on dit les deux, en fait !!!
Bertrand demande à
Marisa si elle a de la famille en France… elle dit que non, et lui répond :
« Enfin, moi c’est pareil, j’ai pas
de la famille en Suisse »… Bien vu… J’aime bien son esprit vif et son
humour particulier. Je pense que c’est un mec intelligent.
KLM dramatise toujours
tout ! En parlant de son penchant pour Marisa, elle sous-entend qu’une
nouvelle GGGGGRRRRRRAAAAAVVVVVIIIIIIISSSSSSSIIIIIIMMMMMEEEEEE risque d’entacher
l’attirance que Bertrand éprouve pour elle. Et c’est quoi cette nouvelle ?
Marisa a le SIDA ? Marisa est une ancienne prostituée ? Marisa lui a
menti : ses yeux bleus ce sont des lentilles colorées ? Marisa a fait
l’émission suite à un pari ? Non : plus grave encore : Marisa
n’aime pas le fromage… Alors ça, c’est vraiment DRA-MA-TI-QUE !!!!!!!!! En
fait c’est KLM qui est LA-MEN-TA-BLE !!!
Marisa, pour une
Suissesse, n’aime pas le fromage… Le
comble ! Je rêve… Mais pas de quoi en faire un…….. fromage justement,
comme le sous-entendait KLM !!! Elle dit être très pénible côté
nourriture.
Et Bertrand lui fait
une omelette… vu qu’elle ne veut pas de tourte au « cheuvre » ou « chieuvre »,
j’ai pas bien entendu… Est-ce que « cheuvre »
ou « chieuvre » ça veut
dire « chèvre » ?
Marisa se sent gênée
de faire sa pénible dès son arrivée… En tout cas, elle se tient mal à table,
avec ses coudes sur la table, la Suissesse ! Et l’autre ne fait pas
mieux !
Il fait des
spaghettis… sans gruyère pour Marisa… Quel boulet !
Ils ne sont pas
embêtés par les voisins : pas d’église depuis un siècle, pas de
boulangerie, pas de croissants le matin, pas de bistro, pas de lave-vaisselle…
Je ne vois pas le rapport entre le lave-vaisselle et l’église, la boulangerie,
etc. Car le lave-vaisselle n’a rien à voir avec la désertification des zones
rurales, je suis sûre que Darty se ferait un plaisir de livrer là-bas
aussi !!!
Pour la vaisselle, il
dit que demain il fera jour… et les filles s’y mettent… ou font semblant de
vouloir le faire. Du coup, elles disent qu’elles essuieront… Et il dit que ça
sèchera tout seul… Mais une fait remarquer qu’il y aura des traces de gouttes…
La grande phrase
philosophique de Bertrand : « Demain
il fera jour »… Et tant mieux, parce que le jour où il ne fera plus
jour, on pourra compter les heures qui nous restent à vivre…
Il propose aux filles
un caramel « pour s’finir l’palais »…
drôle d’expression, tiens… Ces caramels lui ont été offerts par une prétendante
lors du speed-dating…
Marc, Lot et Garonne, 29 ans, céréalier
et éleveur de vaches allaitantes. Le plus jeune et le chouchou de KLM à
mon avis… Pas le mien… Malgré son jeune âge, il se sent prêt à fonder une
famille avec une femme simple et douce. Il a choisi Aude, savoyarde de 26 ans
travaillant dans l’agro-alimentaire, et
Audrey, 25 ans, secrétaire, de Lorraine, la préférée de Marc.
Elles sont bien
mignonnes, les filles. Audrey est une emmerdeuse qui ne mange pas d’agneau, de
lapin, de veau, car ce sont de petites bêtes et c’est psychologique… Marc
propose de lui faire voir un veau, car ce n’est pas petit… Il mâchouille du
chewing-gum de façon pas classe du tout, comme une vache, j’aime pas du tout…
Elle ne mange pas non plus de foie gras, pour le goût.
Marc a remarqué le
tatouage dans le haut du dos d’Audrey, qui n’arrête pas de remonter son pull.
Il veut savoir ce que ça signifie. C’est un tatouage écrit en latin : « Dum spiro spero » : « Tant que je respire j’espère »…
Marc pose des questions, pour savoir si elle en a d’autres. J’ai pas bien
compris : celui-là et les 2 plumes… Quelles plumes ?! Ah, ok, autour
de la phrase il doit y avoir 2 plumes.
C’est spaghetti dans
toutes les maisons, chez tous les agriculteurs, décidément…
Marc veut que les
filles lui fassent des compliments, alors il leur demande si elles ne sont pas
déçues depuis le portrait. Apparemment, non, pas du tout.
Par contre, il mange
vraiment comme un porc et il plonge tellement la tête dans son assiette, qu’on
dirait qu’il va chercher les spaghettis avec la bouche directement dans le
plat, sans se servir de la fourchette…
Audrey va chercher des
gâteaux qu’elle a confectionnés, et distribue pour le dessert…
L’ambiance est à
chier : je m’emmerde !!!
Émeline, éleveuse de lapins dans
le Gers, fort tempérament, 32 ans, un
élevage qu’elle a créé de toute pièce au sacrifice de sa vie sentimentale, mais
elle veut que ça change.
Elle cherchait un homme
viril et protecteur et a choisi Aurélien, 31 ans, qui travaille dans
l’agro-alimentaire en Champagne-Ardennes… profitons de l’appellation avant que
Flanby l’appelle Champagne-Ardennes-Grand-Nord-Est ou autre… et Bruno, 33 ans, gérant d’un magasin d’articles
de pêche en Bourgogne.
Émeline a 670 mères
qui font 5000 lapins toutes les 6 semaines. Elle n’a pas de mâles car elle les
insémine… QUELLE HORREUR !!!!! Que va devenir l’expression « baiser
comme des lapins » si maintenant les lapines font des bébés toutes
seules ?! Quel drôle de progrès…
Aurélien arrive après
6 heures de route. Il aura la chambre qu’il reste… Logique…
Bruno, avec l’arrivée
d’Aurélien, est plus stressé, se renferme, alors qu’Aurélien est très à l’aise
et plus serein. Aurélien a une tête de curé ou de séminariste…
Elle, c’est Mme
Donc : « Donc la maison, t’as pigé :
cuisine, salon-salle à manger. Ma chambre, donc la chambre à Bruno, donc la
tienne »… Normalement, c’est pas vraiment dans cette configuration
qu’on utilise le donc, qui est plutôt
une conséquence, une suite logique, mais bon… ne chipotons pas…
Pour Bruno, la
pression monte maintenant qu’ils sont 3 au lieu de 2, alors qu’elle était
retombée en fin d’après-midi… Il dit que c’est un peu plus intense mais qu’il
va s’y faire…
Alors je vais faire ma
KLM : « S’y fera-t-il
vraiment ? »…
KLM dit qu’Aurélien
dégage beaucoup de sérénité, même si les circonstances ne jouent pas en sa
faveur… Pourquoi ?! « Je me
sens très à l’aise, voilà », dit-il avec sa voix de CURÉ, c’est bien
ça !!! En fait, il dit que Bruno a
pris de l’avance pour faire connaissance avec Émeline mais qu’il se
rattraperait plus tard…
Pft, où est le
problème ?!
Le floc, c’est une
liqueur à base d’Armagnac… Beurk !!! Maintenant, c’est Aurélien, qui parle
avec Émeline… Bruno est totalement en retrait.
Émeline
parle du fait que nous ne soyons pas tous égaux devant les sensations de faim…
Pourquoi ce sujet qui tombe comme un cheveu sur la soupe ?! Elle dit que
quand elle a faim elle n’a pas de patience et le répète toutes les 3 minutes.
Avec Aurélien, ils sont dans le même état lorsqu’ils ont faim. Plus de force,
tout mou, voilà comme ils sont… C’est passionnant… Enfin, ça créé des liens et
des points communs…
Il dit que ça lui fait
ça quand le matin il ne mange pas à se forcer… Ça veut dire quoi, ça ?!
Pour le dimanche, elle
a organisé un repas et ils seront 20-25 jeunes agriculteurs, avec leurs
conjoints pour ceux qui en ont… et ceux qui n’en ont pas pourront toujours
alimenter les saisons futures de l’émission…
Bruno reste
désespérément muet, quand Aurélien fait son paon et son one-man-show…
Allez, c’est l’heure
de manger – il est plus de 21h30, il serait temps… - et elle a préparé une
garbure, soupe gasconne à base de chou avec des manchons et du cou de canard,
qu’ils dégustent… Light, la soupe !!! Les légumes sont
« défaits » parce que la soupe cuit des heures et des heures… donc
les légumes ont « fondu » ou se sont « délités », plutôt…
Émeline leur demande
leurs premières impressions… sur la garbure, mais Aurélien pense que ce sont
les premières impressions sur elle… En attendant, c’est encore le seul et le
premier qui parle.
Apparemment, la
garbure est succulente, et Émeline est contente d’elle car elle a le goût de
garbure. Ça tombe très bien… Mais c’est vrai qu’elle qui connaît le goût que ça
doit avoir est plus à même de dire si elle est conforme ou pas la garbure de
référence… qu’elle est la seule à connaître… Bruno est très silencieux, mais il
aime beaucoup aussi, dit à voix basse que c’est super bon.
Christophe-des-nanas-vulgaires,
dans l’Allier, car il y en a 2 cette années, que KLM définit par
« Christophe l’Auvergnat »… Du coup ça me fait penser à Georges Brassens et j’imagine un vieux à
moustaches avec une canne… Je ne me souviens plus qui est l’autre… Enfin, lui a 38 ans, éleveur de vaches
allaitantes. Il a été très affecté par la mort de son père il y a 7 ans, a
repris l’exploitation en délaissant sa vie sentimentale, et il vit avec sa mère
et sa sœur, très possessives et castratrices, à mon avis... Il n’a voulu rencontrer
que 2 femmes : Eulalie, jeune maman de 30 ans, téléconseillère à Nantes - un
enfant et de gros nibards - qui va arriver plus tard, dans 2 jours, et
Christelle, secrétaire médicale de 31 ans de Toulouse et un enfant, qui est
déjà là. Christelle doit avoir la tête lourde pour toujours mettre ses coudes
et ses mains afin de la porter…
Christelle se dit
jalouse… Qu’est-ce qu’elle se tient mal à table, c’est horrible !!! Les
coudes sont bien « tanqués » sur la table…
Il dit qu’il n’a plus
mangé en tête-à-tête depuis longtemps. Elle, elle est carrément écrasée sur ses
coudes et ses avant-bras à l’horizontale sur la table, ce qui fait qu’elle a le
visage à 5 cm de la table… Pft ! Quelle (mauvaise) tenue !!!
Elle aime la voix de
Christophe, qu’elle considère comme étant apaisante, et elle pense qu’il
l’endormirait facilement… Elle aime également son regard et son sourire… Il
demande s’ils sont si ravageurs que ça, et il dit que c’est la première fois
qu’on lui dit… Christelle n’est pas tranquille et lui fait remarque que « l’Autre »… et elle se
ressaisit : « Eulalie »,
est là pour ça aussi, qu’elle va faire à Christophe les mêmes compliments
qu’elle… Christelle est très réaliste quand elle lui dit que dimanche il va en
dégager une, et même s’il dit ne pas être comme ça, c’est le concept de
l’émission…
Christelle a raison de
lui dire qu’elle ne veut pas savoir et qu’elle ne veut pas qu’il lui fasse
penser que c’est elle qu’il va choisir si au bout du compte ça doit être
l’autre... Elle, elle anticipe tout et fait les questions et les réponses.
Christelle est sympa
car, sachant que sa concurrente aura manqué 2 jours, elle dit à Christophe que
s’il veut passer la journée de samedi avec Eulalie, elle l’acceptera, même si
ça l’énerve…
Il la fixe, elle lui
demande pourquoi il la regarde comme ça… Beh, c’est normal, non… Ça sent
l’attirance, le trouble et l’amour naissant…
KLM annonce qu’à leur
retour, leur quiétude va être troublée par un imprévu, un événement inattendu,
quelque peu contrariant… On l’a cambriolé ? Eulalie est arrivée ?! Mystère…
Suspens…
PUB
Alors…. What has
happened ?! Il a oublié de prendre la clef quand ils sont partis et ils
sont renfermés à l’extérieur ! Quelle tête de linotte !!! Il doit
réveiller sa mère, qui dort à poings fermés et ne se réveille pas ! Christelle
propose de dormir dans la voiture… Il dit qu’ils seront au chaud… Oui, s’ils
dorment collés l’un contre l’autre…
Finalement, il frappe
fort au volet, qui n’était pas totalement fermé, et il frappe à la fenêtre et
crie. Quelqu’un dans la maison dit : « J’arrive ».
À entendre KLM, je
pensais à quelque chose de pire !!!
Christelle va prendre
la douche… et elle dit qu’elle va aller
dans son lit – à Christophe, puisqu’il lui a prêté sa chambre – mais sans lui.
Il dit que c’est dommage, et elle qu’on ne peut pas tout avoir le premier
soir, que ça ne se passe pas comme ça… Ce qui est normal !!! Lui faisait
de l’humour… normal aussi… mais il saisissait la perche qu’on lui avait tendue.
Il dit ne pas être comme ça non plus, et elle le sait.
Conclusion de
Christophe sur sa soirée : bonne soirée, mais attend de voir quand Eulalie
sera là, pendant les 6 jours, laquelle des deux correspondra le plus à sa
recherche…
En Haute-Saône,
chez François, il « réserve à
Marie-Paule un régime de faveur aux accents francomtois », dit KLM. « Moi j’aime bien les surprises donQUE je te
laisse faire »… Punaise d’accent qu’elle a !!! Il n’avait pas
vraiment réfléchi à un programme, mais ils vont prendre la voiture et aller manger
que’que part. Elle veut manger une spécialité régionale… Logique… et elle
demande ce que c’est : la cancoillote, « du fromage liquide qui est
chauffé et qu’on fait couler sur des pommes de terre, avec du jambon, de la
saucisse, voilô », selon François. Elle : « Va pour la canqueillote ! » et
elle éclate de rire. Ils vont dans un restaurant traditionnel. Ils sortent de
la maison et Marie-Paule dit en chantant : « On part déguster la cacaillote ! ». Il la reprend :
« La cancoillote »… Elle
rerépète, mal : « La concoyote »
et on est proche de la bonne prononciation… mais pour pas longtemps… Il le
répète encore avec l’accent marseillais !!! Dans la voiture, comme
d’hab’ : « Voilô, voilô »…
Ils sortent bras
dessus, bras dessous… Bizarre, de but en blanc, c’est un peu rapide… Ils
doivent tous les deux besoin de contact humain, style « Free Hugs »…
On dirait un sketch de
Bigard avec la restauratrice qui demande s’ils viennent manger… Pft, et que
viendraient-ils faire d’autre ? Un tennis ?! J’vous jure !!!
Marie-Paule, quand la
restauratrice demande s’ils viennent manger, dit : « La cocoyolle »…
La nana ne comprend pas et fait répéter : « La cocouyole »… De mieux en mieux… François s’amuse à lui
faire répéter des conneries… La restauratrice explique qu’il y a la Cancoillote
et le Mont d’Or chaud… Punaise que ça doit être bon, tout ça… La restauratrice
demande à Marie-Paule si elle ne connait pas, et l’autre qui répond ce qui
explique tout : « Je viens de
Marseille »… avec l’accent qui va avec… En même temps, on peut être de
Marseille et connaitre les spécialités d’autres régions… Et elle éclate de rire
toute seule, comme si c’était drôle de venir de Marseille… Enfin, bref…
La serveuse-patronne
est toute contente… et la Marie-Paule est toute fière de dire qu’elle est de
Marseille… C’est fou cette fierté à être de cette ville pourrie… où je suis
pourtant née…
On lui sert une sacrée
assiette… avec pommes de terre poêlées, 2 tranches de jambon, salade verte, et
sans doute la cancoillotte fondue qui nappe les pommes de terre et le jambon…
Miam, miam… J’adore tout ce qui est fromage fondu… et généralement bien
calorique aussi, meskina de moi… Et comme il y a les caméras, les portions sont
sans doute XXL !
Marie-Paule, quand
elle voit l’assiette et ce qu’il y a dedans, fait dans les lieux communs
typiques du Sud… et ne finit pas ses phrases…
ce qui est nul : « Je
passe un mois chez vous, je… »… deviens Bibendum, aurait-elle pu dire…
La restauratrice dit qu’elle sera en pleine forme, mais ça serait plutôt
« pleine de formes » !!!
Pour montrer aux
Marseillais qu’il n’y a pas que la bouillabaisse - ou qu’elle est sortie de
Marseille au moins une fois dans sa vie… - elle va photographier son assiette
de « cocoyote ».... Là, je
fais le canard, parce que je suis la spécialiste des photos
d’assiettes !!!
Tout ça pour dire aux
Marseillais qui parleront de la bouillabaisse : « Tu comprends rien ! La cocoyote ! »
et François est mort de rire… Homme qui rit, à moitié dans ton lit ? Ah
non, c’est pour les femmes… Mais ça pourrait être : « Homme qui rit,
à moitié séduit »… Pourquoi pas ?!
Marie-Paule se
renseigne sur les francomtoises : Ici, il n’y a pas beaucoup de femmes
célibataires ? Si, « il y en a
quand-même un peu… » dit François. Elle répète qu’elle est coach
relooking et demande si elles coquettes, ce à quoi il répond que oui. En effet,
elle pose ses jalons pour, éventuellement, exercer son métier là-bas ?
Pourquoi pas… Je ne sais pas si ils ont coupé la séquence, mais d’un coup,
comme un cheveu sur la soupe, elle dit : « Le court, ça peut être sexy. Mais le court, ça peut être aussi vulgaire ».
Oui, ça c’est certain… surtout à un certain âge… François est
impressionné : « Alors quand tu
vois arriver une femme, tu arrives de suite à la jauger. C’est un sacré métier
quand-même « ! Quand on la voit, on se demande où elle a appris
son métier… ou elle s’est vraiment improvisée coach en relooking… Ah non, ça y
est, j’ai trouvé : elle est coach en relooking de cagoles !!!
Définitions de la cagole :
1.
Fille au comportement plutôt vulgaire et
souvent vêtue ou maquillée de manière outrancière attirée par les vêtements aux
couleurs criardes.
2.
« Nom
féminin d’origine provençale. Désigne une fille de très petite vertu et de fort
mauvaise apparence : ʺCelle-là, tu peux y aller, c’est une vraie cagoleʺ
veut tout dire. A l’origine, on trouve le mot provençal cagoulo, cagoule,
mais aussi long tablier. Les filles qui, au début du [XXe]
siècle, travaillaient dans les usines d’empaquetage de dattes étaient tenues,
pour des raisons pratiques, de porter ces ʺcagolesʺ. Et comme à Marseille,
ʺtravailler aux dattesʺ est une terrible malédiction, on en conclut que les
salaires et les conditions de travail sont ou étaient il n’y a pas si longtemps
encore, assez atroces. Il est donc possible que pour arrondir leurs fins de
mois, les filles des dattes, jadis, vendaient leurs charmes. »
KLM dit que tout se
passe bien entre eux, mais que la nouvelle que Marie-Paule lui réserve pour le
dessert risque de lui rester en travers de la gorge. En effet, elle veut dormir
à l’hôtel car elle attend que Maryline soit là… pour garder une certaine
distance avec François… Oui, bien sûr… Mon œil !!! C’est débile, je
trouve… Pourtant ils se sont rapprochés… À mon avis, elle est coincée,
trouillarde, et elle a peur de se retrouver seule avec François dans la maison,
ça c’est plus sûr… Elle fait la nana moderne, libérée, alors qu’elle se sent
comme une petite fille qui a peur de la présence masculine…
François lui dit
qu’elle préfère que Maryline soit là, et la réponse n’est pas des plus claires,
loin de là… « En plus par rapport à
elle, je veux dire, voilà »… Oui, bien sûr, on a tout compris…
Marie-Paule dit qu’elle
est très contente d’être là, demande à François sa première impression, et il a
l’air un peu sonné par la nouvelle et on dirait qu’il atterrit : quoi ?
comment ? où ?
D’un coup, au resto,
coupure de courant, et réflexion débile de Marie-Paule, qui aime bien le mot et
le répète donc pour n’importe quoi, comme les enfants : « Ça, c’est un coup de la cocoyotte »…
Ils sont morts de rire tous les deux…
Elle monte chercher
ses affaires. Un truc m’échappe : au resto, elle avait un sac en cuir avec
des clous. Là, elle a un sac style cabas de supermarché blanc avec de gros pois
vert anis… Très chic, pour une spécialiste en relooking…
Elle est dingue de son
Dior : « Mon bébé d’amour, mon petit
cœur, mon amour »… et François qui dit, avec l’accent du Midi : « Le
petit chien, le petit chien », car c’est Monsieur BIS, qui répète tout par
deux… Il monte vers la chambre de Marie-Paule et dit au chien « Eh pépère, viens voir, viens, viens Youki »…
et l’autre espèce de petit roquet de chien capricieux à sa mémère, se met à aboyer
après lui comme un taré, à regarder François avec un air méchant, à monter sur
le lit… Pft, quelle bestiole désagréable !!!
Commentaire à la con
de KLM : « Le petit chien de
Marie-Paule, d’ordinaire si calme, semble manifester quelques signes de jalousie. A-t-il flairé un léger rapprochement
entre sa maitresse et notre agriculteur ? »… Pft !
Et elle part à l’hôtel
avec son cleps…
Ils s’embrassent pour
se dire au revoir et bonne nuit, et François veut l’embrasser une nouvelle fois…
ce qu’ils font…
François trouve
Marie-Paule gentille et adorable, mais laissons faire, faut pas s’inquiéter… Et
il conclut, avec l’accent de Marie-Paule : « Tranquille »… Avec l’accent à couper au couteau qu’il a, il
peut refaire celui de Marseille…
Allez, c’est l’heure
du dodo dans toutes les fermes, et on les fait tous voir en train de se
souhaiter la « bonne nuit » dans toutes les fermes et d’aller au lit.
.
Bertrand fait 3 bises
à Marisa et seulement 2 à Pauline… il s’adapte aux coutumes de leur région…
Christelle, elle
regarde toujours de côté, c’est rigolo. Elle fait la bise à Christophe et le
remercie encore pour le resto et pour les fleurs… Franchement, elles ne sont
pas très sexy, les nanas !!! Je ne dis pas de se mettre des nuisettes en
satin et dentelle transparentes et hyper décolletés, mais de là à se mettre des
pantalons de jogging ou assimilé, et des vestes à capuche style racaille des
cités, il y a des nuances…
Chez Marc, les filles
sont toujours en tenue de ville, le « bonne nuit » est simple, sobre
et chaleureux.
Chez Émeline, idem, et recommandation de la chef : « Demain matin c’est 8 heures et quart
pile »… Et si c’est 17, ça n’ira pas ?! Pft !!! C’est l’armée
ou quoi ?!
Chez Marc, c’est là que
le réveil a sonné le plus tôt, 7 heures, et les filles sont donc réveillées
depuis cette heure-là… Il ne rigole pas, lui !!! Ils commencent la journée
en rejoignant le père…
Marc élève des blondes
d’Aquitaine, comme son grand-père, et il travaille à l’exploitation avec son
père, Jean-Claude.
Marc demande aux
filles de faire sortir les vaches et les veaux, elles s’en sortent bien d’ailleurs,
sauf un dernier veau récalcitrant. Après, KLM dit que Marc va initier ses
prétendantes au maniement de son « engin
télescopique »… C’est « Le Manitou », je pense.
KLM sait bien que ça
peut être très mal interprété, ce terme ?! Je suis sûre que oui, mais elle
fait style « l’air de rien »…
Marc va leur montrer
comment ça fonctionne, au moins à la fin de la semaine il reste au lit et les
filles gèrent !!! Humour !
Audrey conduit le
tracteur, et se débrouille très bien. L’ambiance est très conviviale et sympa.
Génisse : vache qui n’a jamais reproduit. Marc dit toujours s’il te plait,
il est agréable.
Émeline, éleveuse de lapins dans
le Gers, les met au boulot avec rigueur et fermeté. Les petits lapins
ont 21 jours et il faut sortir les « nids » des 528 cages… car ils n’en
ont plus besoin.
Sortir les nids, c’est
éjecter les petits lapins de 21 jours de corbeilles en plastique, trouées
dessous, qui ressemblent à des panières à pain de cantine, sauf qu’elles sont
percées de façon opposée : pas dessous, mais sur les côtés.
Avant de rentrer dans
l’élevage, les hommes sont soumis à des règles d’hygiène très strictes, à
savoir ne pas laisser en contact les vêtements de l’extérieur avec l’intérieur,
mettre d’abord la combi et les chaussures après, de l’alcool sur les mains,
pédiluve, la radio permet aux lapins de couvrir les bruits que peuvent faire
Émeline, Bruno et Aurélien. Les lapins sont très fragiles, d’où ces règles très
sévères. Elle dit que si ça se passe mal, elle remontera le son de la radio,
car ils risquent d’avoir peur de les voir à 3 alors qu’ils ont l’habitude de la
voir seule ! Oh punaise, c’est bien sensible, ces petites bestioles !!!
Son élevage est très moderne
et automatisé. Même la nourriture des lapins est distribuée de façon
automatique. Si un moteur tombe en panne, 66 femelles ne mangent plus, et ça, c’est
un problème à résoudre de façon hyper prioritaire.
Elle explique comment
sortir les nids… en faisant descendre « les pioupious »… sauf que c’est pour finir en sauce à la
moutarde, les pioupious, les pauvres…
Je ne vois pas
pourquoi il faut avoir fini à midi !!! Pft ! Quelle emmerdeuse !!!
Christophe en Auvergne,
qui s’est levé avant tout le monde, regarde la vidéosurveillance avec ses bêtes
car c’est la période de vêlage.
Tout ce monde dans la
maison, quelle horreur !!! La mère, la sœur, lui, Christelle !
Pft ! Ça me saoulerait !
Et la maison, elle est
moche : les meubles, la tapisserie, beurk !!! Le tableau en puzzle ou
en canevas sur le canapé et les 2 ours en peluche de part et d’autre du cadre,
c’est d’un goût……. de chiotte !
Christelle n’a pas
super bien dormi… Mais ils ne disent pas à cause de quoi : Christophe et
la mère disent que c’est à cause du chien. Quel fléau, ces chiens…
En fait elle dit avoir
bien dormi et c’est pas vrai.
La mère dit que le
dimanche la lune va tourner et que 3 jours avant et 3 jours après ça déclenche
les naissances. C’est comme les femmes.
Christelle met un bleu
de travail, en combi, ce qui n’est pas très seyant ni sexy !!! La mère dit
que tant qu’on ne pèse pas 120 kg on n’est pas gros… Pft !!! Tout le monde
l’aide à mettre sa combinaison pour aller bosser.
Christophe a 90 vaches
charolaises… Waouw ! « V’là mes
mémère ! Viens mes mémères, viens la ch’tite »… J’adore… Humour…
Visite du hangar de
stabulation : « Ça c’est les p’tites,
ça c’est tes futurs biftecks,
Christelle, de voir les
veaux et les vaches, de futurs biftecks, dit qu’elle va arrêter de manger de la
viande… Elle demande comment il peut les envoyer à l’abattoir, c’est trop
mignon !!! C’est sûr… Quelle horreur…
Il leur envoie je ne
sais quoi… avec une espèce de canon ou de douche… C’est « faire litière »,
si j’ai bien compris. Ah, ces filles de la ville, elles n’y comprennent rien !!!
Il y a un siège pour Christelle
dans le tracteur, avec un coussin car sinon c’est trop dur, et il s’excuse d’avance,
parce que comme il a l’habitude d’être seul, il met sa main où elle est… et
risque de la toucher, du coup… S’en plaindra-t-elle, d’ailleurs ?! Il leur
envoie des petits morceaux de paille, Christelle dit que c’est de la
balnéothérapie, et lui dit qu’elles aiment bien parce que ça les frotte.
Il veut mettre de l’air
frais, et du coup il doit un peu toucher Christelle, qui aime bien… Il dit que
c’est bon à savoir… il lui demande si ça ne la dérange pas, et elle dit qu’ils
ne sont pas là pour enfiler des perles… Eh bien au moins ça a le mérite d’être
clair…
Elle bosse bien, elle
est motivée, à l’aise et lui ça lui fait drôle d’avoir quelqu’un près de lui.
À la question : « Ça te plait ce que j’te fais voir ? »,
la réponse est bizarre : « Ça
me dérange pas »…
Ils s’entendent bien,
tous les deux… sans doute tant qu’ils sont deux…
Chez Bertrand
dans le Cher : Pauline et Marisa vont participer à un
rituel : allumer et remplir la chaudière à paille… 2 bottes durent presque
la journée… et 1000 bottes de paille font l’hiver. 5 bottes par jour.
Il vit chez ses
parents, Marynette et Daniel, partis vivre chez des amis, mais les parents sont
quand-même venus voir les prétendantes. Les parents restent des parents :
curieux !
Les 2 filles ont 25
ans : les questions rituelles des parents : l’âge et la
situation !!! Grrrr….. Ça c’est le truc qui m’énerve, ce genre d’interrogatoire.
Pauline dit être travailleur social, et la mère qui reformule : « Tu fais dans le social »… Beh,
quelle question conne !!! Elle accompagne les gens dans leurs démarches,
tout ça…
Le Bertrand qui s’y
met « Voilà, voilà »…
L’activité céréalière
est très calme, donc il a du temps pour visiter le domaine…
Le père fait des
sculptures en ferraille qui ornent le jardin… C’est original et pas moche…
Marisa veut voir les
voitures… mais elles n’en sont pas dingues. Sur une ancienne voiture des
postes, il a écrit : « Petit Touriste Tranquille »… Avec, il a
fait les Gorges du Verdon, et il dit qu’avec ces voitures, à 80 tu as l’impression
de rouler à 100 !!! C’est sûr !!!
En Haute-Saône,
Marie-Paule rejoint François après la nuit à l’hôtel. Elle
voit François et fait l’enthousiaste : « Wouaw ! T’es habillé en……. » et comme d’hab’ elle ne
finit pas sa phrase… EN QUOI ???????????????? Elle demande un bleu de
travail… et dit qu’elle va s’habiller en fermière… Lui, il se la joue à la Yves
Montand dans les films des livres de Pagnol : « Tu es prête, petite ? ». Moi je pensais plutôt une
fermière habillée différemment… avec une jupe à froufrous, un haut blanc en
dentelle, bref, à la Caroline Ingalls…
Marie-Paule précise : « Pétard, si tu veux aller faire pipi, avec
une salopette c’est toute une aventure ! », sauf que ce n’est pas
une salopette mais une combinaison… Oui, c’est sûr, mais fallait-il le
préciser ?!
J’ai compris :
son cabas blanc à poids vert anis, c’est la bouffe du chien !
Le temps de nourrir
Dior, de lui faire des câlins, de ci, de là, François attend !!! Lui, il
dit qu’il va falloir y aller, et elle, elle continue à faire ce qu’elle a à
faire, dire à son Dior ce qu’elle a à lui dire, que Maman revient, comme si de
rien n’était !!! Grrr…………. Et elle continue : « Maman va voir les petites vaches, et les petits veaux. Je t’aime »…
Et François : « Petite, on
y va ? », et elle descend enfin… Son mot à elle c’est : « Allez, on y va ! À la fermô »…
Pft !!!
Le fumier, pour Marie-Paule :
« C’est le caca des vaches »…
Elle dit que c’est pas dégueulasse car elles mangent des trucs sains… Et le
nôtre, de caca, il n’est pas sain ?! Je te jure !!! Sauf peut-être
quand on mange des bonbons Haribo : fraises Tagada, Schtroumpfs, Cocobat,
auquel cas on doit faire un caca sacrément chimique et d’une drôle de couleur
vu les mélanges… et tant soit peu qu’on boive un Coca avec, c’est la totale,
mais sinon, où est la différence entre le caca des vaches et le nôtre ?!
Elle craque pour les
veaux… Elle les appelle « Mon cœur »,
et leur donne à boire le biberon : elle s’émerveille : « Ça a des bouches de bébé »…
Elle va maintenant
essayer de coincer une vache qui s’est échappée… Elle a un peu la trouille
qu’elle lui fonce dessus… donc François lui dit de l’empêcher de la bloquer
pour l’empêcher de passer, et l’autre froussarde dégage du milieu…….. et la
laisse passer ! Quelle courge !
La vache fait tourner
François en bourrique, parce qu’elle n’obéit, et l’autre de dire : « Elle te prend pour un conggg ! »…
Et finalement la vache
finit par rerentrer où elle était.
Elle trouve trop
belles les vaches, en particulier celle avec une frange, et les veaux…
Chez Marc : un grand
classique des séjours à la ferme : les courses au supermarché. Il veut se
faire par une fille. Ils vont à Intermarché. Comme ce sont ses parents qui
cuisinent d’habitude, il ne connait pas le magasin.
Quel bordel, ces
courses !!! Lui voulait faire tous les rayons pour ne rien oublier et les
nanas ont une autre technique : elles partent dans tous les sens.
Il ne veut pas y
revenir, aux courses, et il a compté le nombre de repas qu’ils auront. Les
filles parlent d’un gratin de ravioles… Ouais…
Chez Christophe l’Auvergnat
– car il y en a un autre, il va falloir que je leur trouve un surnom - dans
l’Allier : au centre de remise en forme et de bien-être à Néry-les-Bains.
Magie de la télé et de
la présence des caméras : un accueil de VIP de la part du personnel.
Son rêve à lui :
d’abord un appart’ et après une maison dans la Beauce.
Ils ont les mêmes
aspirations. Elle, elle aimerait bien faire un gite.
Ils font un massage
ensemble… L’un à côté de l’autre… Huuummm….
Les nanas sont très
gentilles… Toujours le miracle de la camera !!!
Christophe :
« Dommage qu’Eulalie n’a pas pu
v’nir. On verra bien quand elle viendra demain comment qu’ça va s’passer »…
Lui, pour faire péter l’ambiance, il est champion du monde !!!
Christelle
a adoré ce cadeau et dit toujours merci. Ça c’est bien…
Il
lui fait vraiment plaisir… C’est cool !
Dans
le Gers, chez Émeline : après la sortie des nids : repas dans
une maison voisine de la sienne, chez son père : après s’être occupé des
lapins, ils vont en manger… C’est pas d’un goût exquis, quand-même…
Le
lapin, c’est la viande préférée d’Émeline, ce qui n’a rien à voir avec le choix
de son activité professionnelle, précise-t-elle… Bruno ne parle pas… et s’il
continue, ça va l’énerver et chier…
Sans
qu’il ne le sache, elle lui fixe un ultimatum, et la deadline, c’est le soir-même…
Chez
François, alors que Maryline n’est toujours pas arrivée.
Ils vont tous chez
Intermarché, les agriculteurs, ou quoi ?! Beh, ils vont où ils peuvent et
dans l’enseigne qui se trouve à proximité, surtout…
Premier achat :
du papier Q, et ensuite, la Marie-Paule se transforme en fée du logis et achète
des tonnes de produits d’entretien, dont du savon de Marseille… sans doute par
nostalgie… N’importe quoi !!! Et du nettoyant pour les toilettes, des
éponges, de l’eau de javel, etc. Elle est barge cette femme !!!
Ils vont faire des
fraises au sucre avec de l’alcool dessus… Beurk ! Elle lui demande de
pousser le chariot car il est trop lourd. Quelle chochotte… Ils doivent acheter
du sucre car il n’en a même pas chez lui… Incroyable !!!
François a l’air malin
à chercher Marie-Paule de partout dans le magasin…
Elle
est chiante et dirigiste !!! Oh punaise ! Il faut ranger comme-ci,
comme-ça : « Voilô »…
Y’avait longtemps… Les « trucs »
les plus lourds au fond, le reste dessus. Oui, c’est logique, mais on dirait
une maman qui parle à son gamin…
Chez
Bertrand : les courses génèrent des éclats de rire…
Ils
vont faire un tour en vieille 2 CV. Je ne sais pas ce qu’elle a sur le toit, ça
fait bizarre ! Mais c’est rigolo. Je crois qu’il y a un arrosoir, des
bouteilles, etc. Et la deuch’ tombe en panne… Si ça se trouve il n’y a plus
d’essence… Je n’aime pas ces voitures…
En
fait, ce sont de bons potes qui rigolent bien tous ensemble…
Ils
n’ont pas fait de planning pour la vaisselle, suggère Bertrand…
Ils
prennent la tisane, comme des papys et mamies, et il y en a une : « Nuit tranquille ». Lui :
« Et ils ne font pas nuit
torride ? » J’adore cet humour. Vraiment.
Dans
le Lot et Garonne, avec Aude et Audrey.
Il se met en aparté
avec Audrey. Elle est contente, ça se passe bien… Se livre… Là, elle se
retient. Elle est prête à beaucoup de choses par amour, mais là, avec Aude, pas
facile…
Marc laisse planer le
mystère…
Christelle a offert
une jolie composition de plantes à la mère de Christophe… Elle est
touchée… Christelle est ko, elle ne se sent pas d’aller voir la vache qui a mis
bas.
Il y a 2 vaches qui
ont mis bas en même temps, et il ne sait pas à qui sont les veaux qui sont nés…
C’est rigolo, ça…
Nouveau dîner en
tête-à-tête pour le soir. Eh bien, il y prend goût et la chouchoute ! La
mère et Christelle sont complices. Et la sœur de Christophe l’aime bien aussi.
KLM ouvre le
débat : « Mais demain l’arrivée
d’Eulalie risque de faire changer la donne »… Quel oiseau de mauvaise
augure, cette nana !!! À voir… Pft !
PUB
Bon, je m’ennuie un peu… Pas vous ?
Chez François : Il
accueille Maryline, auxiliaire de vie bretonne… Je ne me souvenais plus de sa
tête, mais elle ne me plait pas du tout du tout !!! Elle fait triste à
mourir, cette nana… Elle ne sourit pas, elle est vraiment sinistre… En plus,
ses cheveux m’ont toujours choquée. À la gare de je ne sais où… Le bouquet est
un peu mort : « Voilô, voilô »… Punaise !!!
Marie-Paule : « Il est heureux, il a ses 2 femmes ».
La Marseillaise type, bien lourdingue, avec un humour de Marseillaise-poissonnière…
Pour
la chambre, elles s’organisent en fonction du chien. Putain, ce chien, tout
tourne autour de lui ! Quel boulet !
Maryline,
avec sa frange raide et ses autres cheveux tout frisés, ça fait drôle. Elle
fait à la mode des années 85, avec sa coiffure à la Sloane de Peter et
Sloane !!!
Marie-Paule
et François, ils font très « petit couple », et Maryline regarde,
muette et en faisant la gueule… Elle a une drôle de coiffure, quand-même… Je ne
vois que ça et sa tronche à la Roger Gicquel qui va annoncer la 3e
Guerre Mondiale, un crash d’avion ou la fin du monde…
Marie-Paule,
elle était déjà allée dans des villages où il y a des lampadaires… Drôle de
remarque… En fait, si j’ai bien compris, un village avec des lampadaires, c’est
un village vivant… Un village sans lampadaire, c’est la Plouquie profonde, le
trou du cul du monde. Elle dit que si elle ne trouve personne à qui parler,
elle va s’emmerder… Maryline dit : « Les vaches »… Beh, elle parle bien à Dior, c’est vrai, après
tout, pourquoi pas ?!
Chez
Bertrand : Balade avec ses prétendantes, pour un apéritif sur
l’herbe… devant le coucher de soleil. Marisa, dans son appart’, est à l’Est, et
l’autre n’a pas de soleil apparemment.
C’est
joli, romantique et bucolique… La lumière est superbe !
Il
dit qu’il y va calmos-calmos… mais il faudrait qu’il s’affole un peu
quand-même…
Maintenant,
après Audrey et Marc, c’est Aude et Marc.
Aude
dit qu’elle n’est pas une fille de la ville, et ils escaladent un drôle de
truc. Il fait l’état des lieux de son patrimoine. Aude a beaucoup souffert et
souhaite que ça ne se reproduise pas, quand il lui demande sa vision de la vie
à deux. Elle a besoin de quelqu’un de gentil, de bras, car elle a beaucoup
donné et là elle veut qu’on s’occupe d’elle. Elle a un peu peur, maintenant.
Lui,
il a remarqué qu’il avait 2 filles sensibles, et il ne veut pas se tromper. En
même temps, qui veut se tromper ?!
Chez Émeline,
repas en tête à tête : ce soir c’est avec Bruno, pendant qu’Aurélien, champenois
de 31 ans, va manger avec le père d’Émeline.
Bruno
est apparu très en retrait, et là, elle souhaite que le Bourguignon se
ressaisisse. Elle lui demande, dans la voiture, si c’est Aurélien ou les
caméras qui le bloquent. Il dit qu’avec Aurélien il ne peut pas en placer une.
Elle
est cash et lui dit que ce soir il joue sa carte.
Elle
lui demande s’il ne la trouve pas trop autoritaire, et il dit que c’est une
nana comme ça qu’il lui faut. Émeline le trouve bloqué, malheureux, et lui-même
ne comprend pas pourquoi il est comme ça. Il se sent à l’écart, se sent mal.
Bruno dit que s’ils étaient ensemble au téléphone, dans quelques jours, elle ne
le reconnaitrait pas.
Christophe
avec Christelle, encore. Il a mis le polo de l’équipe de foot que
Christelle lui avait offert lors du speed-dating : de l’équipe de
Clermont-Ferrand.
Christelle
angoisse en pensant à l’arrivée d’Eulalie, elle lui demande comment il va se
comporter. Il dit qu’il ne va pas changer d’avis comme de chemise. Elle lui
demande ce qu’il voudrait avec elle, et il répond : « Que ça marche ». Beh oui… Normal !
Elle veut savoir ce qu’il espère, et comme tous les hommes, quand on leur pose
des questions, on les emmerde…
Elle
veut savoir ce qu’il va se passer, s’il y aura un rapprochement tactile, lui
dit que s’il veut qu’elle se rapproche, et lui il dit que si elle dit oui il ne
dira pas non… Elle est rassurée, elle dit qu’elle sait montrer s’il le faut. Elle
ne le regarde pas en face, jamais… Je déteste les gens comme ça… Elle remonte
ses cheveux car elle a chaud… Il demande si c’est lui ou le radiateur qui lui
donnent chaud, et elle répond que c’est tout. Bon, maintenant, elle a envie de
rentrer et de partager son lit…
C’est
sûr qu’il faut qu’elle mette le paquet avant qu’Eulalie n’arrive…
François
avec un petit plat concocté par Marie-Paule et Maryline, mais surtout par
Marie-Paule. En fait, tu parles d’un « petit
plat », c’est juste du steak haché, je pense. Marie-Paule cuisine je ne
sais quoi : des haricots verts. Lui : « À la vôtre ». « Voilô,
voilô ; santé, santé »… Quel boulet, quel boulet, ce François,
François !!! Il est obligé de tout répéter par deux, par
deux ?!!!!!!!!!!!
Marie-Paule
a fait un stage de nutrition dans le cadre de sa formation pour faire du
relooking.
Maryline,
elle a vraiment une sale gueule, je la trouve HOR-RI-BLE !!! En plus, elle
ne dit rien, et je n’aime pas ces gens qui ont l’air d’être spectateurs, de
juger et de casser, mais ne s’avancent et ne se prononcent jamais… On dirait un
serpent, cette femme !
Maryline
à Marie-Paule : « C’est bien,
tu as bien fait à manger, tu peux revenir quand tu veux ». Elle a un
air triste à mourir, cette Maryline, c’est l’horreur. Elle parle peu, on dirait
une morte vivante, mais quand elle parle, c’est pour balancer des vacheries…
des scuds !!!
Il
pense qu’il va avoir plus de vues sur Maryline, « Voilô »…. Il va essayer de faire sans trop faire de dégâts,
« Voilô »…
En
tout cas, moi je la déteste !!!
Il
a sélectionné 2 boulets : Marie-Paule et Maryline. Sauf que, boulet pour
boulet, au moins Marie-Paule met de l’ambiance, de l’animation, elle est
dynamique, elle bouge : elle est vivante.
Dans
le
Gers, au resto, au dessert, Émeline dit à Bruno que son
enthousiasme pour lui est retombé : qu’elle se connait par cœur, qu’elle
est comme un soufflé, que ça monte, et que quand ça descend, ça ne remonte pas.
Donc elle est déçue, et là, elle lui dit que ce n’est pas qu’elle ne l’attire
plus, mais pas loin… Du coup, il regarde sur le côté, à gauche, à droite,
peut-être pour cacher sa déception parce qu’il ne peut plus la regarder en
face, et il est super déçu… Il dit qu’il n’a envie que ça finisse au plus vite
et tchao. Il veut se retirer.
En
même temps, avec ce qu’elle lui a balancé dans la tronche, c’est sûr que le
message est clair et qu’il vaut mieux maintenant la mort que l’agonie. En
effet, vu comme elle s’est décrite, il n’y a apparemment plus rien à espérer,
puisque son enthousiasme a définitivement disparu.
Elle
voit qu’elle n’a pas de feeling, maintenant, et que ça ne reviendra pas.
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